Les Story Maps Esri constituent un moyen simple et efficace pour informer, stimuler et inspirer les utilisateurs grâce à un récit illustré par des cartes, des lieux, des emplacements ou des caractéristiques géographiques. Elles vous permettent de tirer parti, en toute simplicité, de la puissance des cartes pour raconter votre histoire.
Les Story Maps d'Esri sont des applications web qui permettent aux auteurs de joindre à de belles cartes des textes narratifs, des images saisissantes et des supports multimédia, dont des vidéos. De par leur conception, les applications sont attrayantes et conviviales et parfaitement adaptées à des missions éducatives et de sensibilisation destinées au grand public ou à un public ciblé.
Vous pouvez créer des Story Maps sur de nombreux sujets. Tout ce qui peut être représenté sur une carte peut faire l'objet d'une Story Map.
Vous pouvez raconter une histoire personnelle sur un de vos voyages ou un endroit qui vous a plu. Vous pouvez également proposer un récit cartographique pour votre agence ou organisation afin d'illustrer des plans et des projets, d'intéresser les participants et les parties prenantes, de promouvoir une ville ou une région, etc. Les Story Maps vous permettent de faire passer un message de manière convaincante.
Vous avez besoin d'inspiration et d'idées ? Consultez les exemples de Story Maps présentés sur la page d'accueil des Story Maps. Ensuite, pour en savoir plus, accédez à la Bibliothèque de Story Maps. Vous pouvez filtrer et parcourir la bibliothèque pour trouver des Story Maps sur les sujets que vous souhaitez traiter.
Voir aussi Les cinq principes d'une narration efficace.
Les Story Maps d'Esri sont créées dans ArcGIS, la plateforme SIG et de cartographie la plus réputée au monde. Tous les détenteurs d'un compte ArcGIS peuvent créer des Story Maps sans frais supplémentaires. Vous pouvez demander un compte public ArcGIS gratuit à usage non commercial ou vous connecter avec vos informations d'identification Facebook ou Google. Vous pouvez également acheter un abonnement ArcGIS pour accéder aux jeux de données premium, publier vos propres jeux de données, effectuer des analyses géographiques, généraliser l'utilisation des données à l'échelle de l'entreprise, et bien plus.
Avant d'organiser votre récit, réfléchissez au sujet que vous souhaitez aborder et à l'audience que vous ciblez. Pour avoir des idées, consultez la Bibliothèque de Story Maps pour voir comment d'autres auteurs ont présenté des sujets semblables au vôtre.
Accédez ensuite à la liste des applications Story Map pour consulter les modèles d'applications que nous proposons et choisir celui qui convient le mieux à votre projet de Story Map. Chaque application vous permet d'offrir une expérience utilisateur spécifique à votre public. Il existe des applications pour des visites cartographiques, des collections de points d'intérêt, des narrations détaillées, la présentation de plusieurs cartes, etc. Prenez le temps de comparer les applications pour voir les différents composants qu'elles vous permettent d'intégrer dans votre récit cartographique. Nous vous conseillons d'identifier l'application la plus adaptée à votre projet, ainsi que la configuration requise avant de commencer.
Chaque modèle d'application propose une page de didacticiel qui vous guide à travers le processus de création. Les applications intègrent des générateurs interactifs qui facilitent l'assemblage de votre récit. Vous serez invité à vous connecter avec votre compte ArcGIS (si vous n'êtes pas déjà connecté). Dans un premier temps, vous pouvez créer des cartes web dans ArcGIS, et ensuite les référencer lorsque vous élaborez votre récit, mais certaines applications vous permettent également de créer et de mettre à jour vos cartes à partir de leurs générateurs interactifs. Vous pouvez ainsi créer des cartes pendant l'élaboration de votre récit. Les Story Maps d'Esri constituent une des méthodes de publication et d'utilisation de vos cartes web ArcGIS.
Voir aussi Procédure de création d'une Story Map.
Dans ArcGIS Online, les cartes web utilisées dans les Story Maps d'Esri, ainsi que les données qu'elles présentent, sont hébergées sur le cloud ArcGIS Online. Les Story Maps vous permettent d'exploiter toute la puissance de la plateforme de cartographie la plus réputée au monde pour créer des cartes pour vos récits. Dans ArcGIS Online, vous pouvez associer vos données avec la gamme variée de données spatiales fiables de référence publiées par Esri et de nombreuses agences de grande renommée, puis choisir des fonds de carte contenant des données cartographiques d'une grande richesse également intégrés au système. Vos cartes peuvent également inclure des données affichées avec ArcGIS Enterprise d'Esri. Si vous utilisez ArcGIS Enterprise pour créer des Story Maps, vos cartes seront stockées dans l’infrastructure cloud sur site de votre entreprise.
Non. Les modèles d'application Story Maps sont hébergés sur ArcGIS. Vous n'avez donc rien à télécharger ou à installer lorsque vous créez une Story Map. Il vous suffit de lancer le générateur interactif de l'application que vous souhaitez utiliser pour créer et publier votre récit.
Vous pouvez également télécharger le code source des modèles d'applications Story Map et l'installer sur votre site ou serveur web. L'URL de votre récit peut ainsi refléter votre propre domaine web et vous pouvez modifier ou personnaliser le code source au-delà des options disponibles dans le générateur d'applications pour mieux adapter l'application à vos besoins. Pour héberger le code source d'une application Story Map, consultez ce billet de blog. Pour consulter certaines personnalisations que les utilisateurs ont apportées aux applications Story Map, cliquez sur ce lien pour ouvrir la bibliothèque de Story Maps en ayant sélectionné l'option 'Personnalisé' dans le menu 'Format' de la bibliothèque. Si vous choisissez de télécharger et d'auto-héberger une application, son code source ne reflètera pas automatiquement les mises à jour que nous apportons à la version hébergée sur ArcGIS au fur et à mesure que nous corrigeons les problèmes et améliorons l'application.
Oui. Même si les exemples de Story Maps que vous voyez sur ce site web et dans la bibliothèque sont tous partagés avec le public pour vous permettre d'y accéder, toutes les Story Maps ne sont pas forcément partagées ainsi. Vous pourrez créer des Story Maps qui contiennent des informations confidentielles sur votre entreprise ou son activité non destinées au public, et en limiter l'accès. De cette façon, vous pouvez exploiter les avantages des Story Maps dans votre entreprise pour communiquer des informations.
Puisqu'elles font partie d'ArcGIS Online, les Story Maps utilisent le modèle standard de partage et de sécurité d'ArcGIS Online. Lorsque vous créez une Story Map, c'est vous qui vous décidez quand vous souhaitez la partager pour que d'autres utilisateurs puissent la consulter, et vous pouvez choisir le moyen de la partager. Lorsque vous partagez une Story Map avec le public, tout utilisateur, où qu'il se trouve, peut y accéder via un navigateur web. Votre public est illimité. Avec ce niveau de partage, vous vous assurez qu'un nombre maximum d'utilisateurs consulteront votre Story Map. C'est un excellent moyen de faire passer votre message et de sensibiliser le public.
Lorsque vous partagez une Story Map uniquement avec les membres de votre organisation, seules les personnes qui détiennent des comptes dans le cadre de l'abonnement ArcGIS de votre organisation pourront se connecter et consulter votre récit. Ce niveau de partage est une fonctionnalité propre à l'abonnement ArcGIS qui n'est pas disponible pour les utilisateurs détenteurs d'un compte ArcGIS public, gratuit et non commercial. Il est également possible de configurer ArcGIS Online dans votre entreprise pour que les utilisateurs puissent accéder aux cartes en utilisant leurs identifiants de connexion d'entreprise standard. Lisez également la réponse à la question suivante.
Oui. Consultez ce billet de blog.
Oui. ArcGIS Enterprise permet à une entreprise de configurer sa propre infrastructure de cartographie basée sur le cloud, qui offre à son personnel les mêmes fonctionnalités qu’ArcGIS Online. Avec ArcGIS Enterprise, les cartes, les applications et les données sont hébergées sur les serveurs de l’entreprise plutôt que sur le cloud d’Esri. Les Story Maps créées avec ArcGIS Enterprise sont habituellement partagées uniquement au sein de l’entreprise. Les applications Story Map disponibles dans votre déploiement ArcGIS Enterprise varient en fonction de la version d’ArcGIS Enterprise que vous utilisez. Les mises à jour de nos applications sont d’abord publiées dans ArcGIS Online, puis incluses dans la version suivante d’ArcGIS Enterprise. Selon la version d’ArcGIS Entreprise que vous utilisez, il se peut que la version des applications disponibles dans votre déploiement ne soit pas la même que dans ArcGIS Online. Notez qu’il n’est actuellement pas prévu d’intégrer Story Map Shortlist à ArcGIS Enterprise.
Les développeurs qui utilisent ArcGIS Enterprise peuvent également télécharger et auto-héberger le code source de n’importe laquelle des applications Story Map afin de personnaliser son apparence. Pour configurer une application auto-hébergée de façon qu'elle pointe vers votre portail ArcGIS Enterprise, modifiez le paramètre DEFAULT_SHARING_URL dans le fichier config.js de l'application.
Une fois que vous avez créé et partagé une Story Map, assurez-vous que le public cible la voit. Vous pouvez également l'annoncer et la promouvoir, comme toute autre ressource basée sur le web que vous souhaitez mettre à la disposition des utilisateurs.
Vous pouvez ajouter un lien vers votre Story Map sur une page web que votre public va consulter. Par exemple, si votre Story Map concerne un projet en phase de planification dans votre organisation, vous pouvez ajouter un lien à la page web correspondant à ce projet pour que les personnes qui prennent connaissance du projet puissent lancer votre Story Map à cette occasion. Pour intéresser les utilisateurs, vous pouvez inclure avec le lien une petite capture d'écran de votre Story Map sur cette page. Vous pouvez également intégrer directement votre Story Map dans la page, pour que les personnes consultant cette dernière puissent l'utiliser immédiatement. Consultez ce billet de blog pour obtenir des conseils sur l'incorporation des Story Maps dans les pages web. Vous trouverez des exemples intéressants de ces deux approches dans la bibliothèque de Story Maps : cliquez sur les liens pour voir les exemples liés ou incorporés.
Les Story Maps représentent également un support utile pendant des présentations, des cours et des ateliers. Elles permettent de stimuler les intervenants et d'influencer les décideurs et les parties prenantes.
Si votre Story Map est destinée au grand public, vous pouvez la promouvoir via des billets de blog, des e-mails et des réseaux sociaux.
Pour optimiser la portée de votre Story Map, vous pouvez publier un communiqué de presse et demander à un organe de presse de rédiger un article sur le sujet abordé dans votre Story Map ou utiliser cette dernière pour illustrer un sujet déjà à l'étude. Une bonne carte est persuasive et les journalistes sont tout à fait disposés à en inclure dans leurs articles pour intéresser leurs lecteurs.
Pour obtenir des conseils généraux sur les points à vérifier avant de publier une Story Map de premier plan, consultez ce billet de blog.
Vous trouverez des conseils, des pratiques conseillées et des informations sur les nouvelles fonctionnalités dans le blog concernant les Story Maps.
Si vous êtes développeur et souhaitez optimiser et personnaliser les applications Story Map, consultez le coin des développeurs de Story Maps.
Pour parcourir ou rechercher tous les billets de blog Esri concernant les Story Maps, notamment ceux provenant des deux sources mentionnées ci-dessus, cliquez sur ce lien pour obtenir une liste de chaque billet. Cette liste est gérée dans Geonet, la communauté Esri. Vous pouvez filtrer les listes en saisissant un terme de recherche.
Vous pouvez poser des questions sur le Forum concernant les Story Maps sur GeoNet, la communauté Esri. Vous pouvez parcourir les questions et les réponses d'autres auteurs. Les membres de l'équipe Story Maps d'Esri surveillent également le forum et répondent souvent aux questions. Nous ajoutons également des billets dans Geonet pour vous informer des nouvelles versions logicielles, des nouveaux articles de blog et des événements à venir (des ateliers, par exemple).
La bibliothèque Story Maps ne présente qu’un échantillon des extraordinaires Story Maps créées par la communauté mondiale des utilisateurs de Esri Story Maps. Son but est de montrer différentes façons d’utiliser nos outils pour construire des récits cartographiques et aider les auteurs à trouver des idées et l’inspiration pour leurs propres récits et projets. La bibliothèque est organisée par l’équipe Esri Story Maps. Elle ne contient pas toutes les Story Maps qui ont été créées, ni même toutes les plus formidables. Il s’agit seulement d’une sélection de récits que nous avons choisis pour illustrer certains sujets, meilleures pratiques et méthodes qui nous ont semblé à même de susciter la créativité chez les nouveaux auteurs de Story Maps. La bibliothèque est essentiellement destinée aux autres narrateurs. Elle n’est pas destinée à assurer la promotion des récits auprès du public ciblé : ce sont les narrateurs qui doivent accomplir cette tâche.
Nous organisons la bibliothèque, avec les présentations "Story Map Collection" que nous publions de manière ponctuelle, en sélectionnant des Story Maps vues sur l’un des canaux suivants :
Pour que votre travail de narration soit reconnu, veillez à vous inscrire au bulletin d’informations Planet Story Maps diffusé par courrier électronique pour vous tenir au courant des concours et des événements à venir. Si vous ne résidez pas aux États-Unis, nous vous conseillons de vous inscrire à la lettre d’information électronique à l’intention des distributeurs d’Esri pour être informé de nos prochains concours et événements. La conférence internationale des utilisateurs Esri, ainsi que d’autres conférences d’utilisateurs régionales et locales, offrent également l’opportunité de partager vos œuvres avec la communauté SIG. Pensez également à partager votre Story Map dans ArcGIS Living Atlas.
Accédez à la section Mes récits du site web Story Maps. Mes récits vous permet d'administrer et de gérer les Story Maps que vous créez. Si vous n'êtes pas connecté à l'aide de votre compte ArcGIS Online, vous êtes invité à vous connecter en accédant à Mes récits.
Mes récits vérifie automatiquement vos Story Maps pour s'assurer qu'elles ne présentent pas d'erreurs qui empêcheraient votre public de les utiliser. Si des erreurs sont détectées, une solution vous est proposée. Par exemple, si votre Story Map est destinée au grand public, mais qu'une des cartes web qu'elle contient n'est pas partagée avec le public, vous en serez informé dans Mes récits cartographique et pourrez ainsi corriger l'erreur.
Puisque les Story Maps font partie d’ArcGIS Online, vous pouvez également y accéder, ainsi qu’à toutes vos autres données, cartes web et applications web basées sur ArcGIS Online, à partir de la section Contenu > Mon contenu dans ArcGIS Online ou Mon contenu dans votre portail ArcGIS Enterprise. La différence est que Mon contenu répertorie tous les éléments vous appartenant, alors que dans Mes récits, le contenu filtré ne présente que vos applications Story Map hébergées. En fait, c'est une vue de votre contenu ArcGIS Online limitée aux Story Maps. Ainsi, si vous travaillez avec des Story Maps, il est plus pratique de gérer votre travail dans Mes récits.
Conseil : Si vous n’êtes pas en mesure de vous connecter à Mes récits ou que vérifier un récit spécifique provoque un problème qui vous déconnecte de Mes récits, vous pouvez recharger le site web Story Maps afin de poursuivre votre travail. Vous pouvez également ouvrir vos Story Maps depuis My Content (Mon contenu) dans ArcGIS Online.
Votre Story Map contient probablement des cartes web ou des couches qui ne sont pas partagées avec le public. Pour que le public puisse l'utiliser, le contenu intégral de votre Story Map doit être partagé avec le public. Accédez à Mes récits, connectez-vous à l’aide de votre compte et développez l’entrée dans la liste qui correspond à la Story Map. Un message vous indique alors si du contenu de votre Story Map présente des erreurs qui obligeront les utilisateurs à se reconnecter. Si vous utilisez l'application Story Map Journal ou Story Map Series, vous pouvez également ouvrir votre récit pour que les générateurs de ces applications vérifient automatiquement le contenu du récit et vous informent des problèmes éventuels.
Notez que Mes récits ne vérifie pas le statut des applications Story Map que vous avez incorporées dans une Story Map. Par exemple, si vous avez incorporé une application Story Map Swipe and Spyglass dans une Story Map Series publique et que l'application Swipe and Spyglass n'est pas partagée publiquement, les personnes qui lisent votre application Map Series sont invitées à se connecter. Comme My Stories ne vous informe pas du statut des applications que vous incorporez, vérifiez qu'elles sont partagées correctement.
La section Mes récits de ce site web répertorie les Story Maps que vous avez créées dans ArcGIS Online à l'aide de n'importe laquelle des applications Story Map, à l'exception de Story Map Basic. L'application Story Map Basic sera prise en charge dans une version future.
Si votre Story Map n'apparaît pas dans Mes récits, elle utilise peut-être une version antérieure de cette application. Les Story Maps qui utilisent des versions antérieures de nos applications hébergées ne sont pas répertoriées dans Mes récits tant qu'elles ne sont pas mises à jour. Le bouton "Votre récit n'apparaît pas" dans Mes récits vous permet d'identifier et de mettre à jour automatiquement ces récits.
Si vous avez déployé votre récit en téléchargeant et en hébergeant de manière autonome une des applications, il n'est répertorié dans Mes récits que s'il est configuré via un ID d'application. Si votre récit cartographique est configuré via une carte web, il n'est pas répertorié.
Certains problèmes actuels peuvent amener Mes récits à vous déconnecter avec une erreur Page Not Found (Page introuvable). Nous examinons ces problèmes lorsqu’ils se présentent et y répondons dans chaque mise à jour nouvelle apportée au logiciel. Nous regrettons que vous subissiez ces problèmes et sommes conscients qu’ils sont indésirables. La bonne nouvelle est que s’ils se produisent, vous ne perdez aucun travail et vos Story Maps restent intactes. L’erreur Page Not Found (Page introuvable) relève d’un problème de cosmétique, et non d’un problème au niveau de vos Story Maps ou autres données. Vous devriez pouvoir revenir à la page Mes récits et poursuivre votre travail. Sinon, pour trouver vos Story Maps et continuer à les utiliser, vous pouvez accéder à la section Content (Contenu) > My Content (Mon contenu) de ArcGIS Online ou à My Content (Mon contenu) dans votre portail ArcGIS Enterprise. My Content (Mon contenu) vous permet d’accéder à toutes les applications (y compris les Story Maps), cartes web et autres ressources que vous avez créées avec ArcGIS (par exemple, les couches de données). Mes récits étant simplement un utilitaire que nous fournissons pour vous apporter une vue Story Maps de votre contenu ArcGIS, il masque les applications de cartographie web ArcGIS qui ne sont pas des Story Maps et offre des outils supplémentaires (par exemple, la vérification de contenu pour les Story Maps). Vous pouvez toujours lancer, créer et mettre à jour des Story Maps directement via My Content (Mon contenu) dans ArcGIS : il n’est pas nécessaire d’utiliser Mes récits. Après l’obtention d’une erreur Page Not Found (Page introuvable), vous devriez pouvoir retourner à Mes récits pour l’utiliser, mais il est également possible que le problème persiste ou se reproduise, auquel cas il sera préférable d’utiliser My Content (Mon contenu) dans ArcGIS pour accéder à vos Story Maps et les gérer.
Oui. La section Mes récits vous permet d'utiliser directement les éléments vous appartenant dans ArcGIS Online qui représentent des applications Story Map hébergées. Ainsi, si vous ajoutez une miniature ou des balises à un élément, si vous en modifiez le titre, le résumé ou un autre élément, cette modification est répercutée dans ArcGIS Online. Ainsi, par exemple, plus les balises que vous ajoutez à votre Story Map dans Mes récits sont pertinentes, plus elles sont faciles à retrouver dans ArcGIS Online ou toute bibliothèque de contenu ArcGIS Online dans laquelle les utilisateurs font des recherches. De la même façon, si vous supprimez une Story Map de Mes récits, elle n'est plus disponible dans ArcGIS Online.
Si vous avez déployé une Story Map en téléchargeant et en auto-hébergeant le code de l'application (pour personnaliser le code, par exemple), et que vous avez configuré votre Story Map auto-hébergée en référençant l'ID d'une application sous-jacente que vous avez créée avec le générateur interactif du modèle, cette application apparaît dans Mes récits. Vous pouvez ainsi vérifier et contrôler le statut de l'application sous-jacente utilisée dans votre Story Map auto-hébergée.
Si vous avez configuré votre Story Map auto-hébergée en référençant une carte web, elle n'apparaît pas dans la section Mes récits.
Vous pouvez ajouter manuellement une entrée d’élément d’application de cartographie web dans ArcGIS Online pour représenter votre Story Map auto-hébergée (en utilisant le bouton Ajouter un élément > Une application dans Contenu > Mon contenu dans ArcGIS Online) pour que les personnes effectuant des recherches dans ArcGIS Online puissent trouver votre Story Map auto-hébergée et qu’elle puisse ainsi être ajoutée aux bibliothèques ArcGIS Online, telles que la bibliothèque de Story Maps. Toutefois, les Story Maps représentées par ces entrées d'éléments ajoutées manuellement n'apparaissent pas dans Mes récits.
Oui. Si votre entreprise utilise ArcGIS Enterprise, vous pouvez créer des Story Maps à l’aide des modèles d’applications Story Map hébergés intégrés à ce produit. La section Mes récits permet de les gérer. La section Mes récits est disponible dans ArcGIS Enterprise depuis la version 10.4. La section Mes récits est accessible dans votre portail ArcGIS Enterprise à l’adresse https://[myportal.com]/[arcgis]/apps/MyStories. Les Story Maps peuvent également être gérées dans votre portail ArcGIS Enterprise via l’option Mon contenu.
Puisqu'elles en font partie, les Story Maps utilisent le modèle de sécurité d'ArcGIS Online. En tant qu'application ArcGIS Online, une Story Map ne peut normalement être modifiée que par son propriétaire. Toutefois, si vous utilisez un abonnement ArcGIS (et êtes par conséquent membre d'une organisation ArcGIS), vous pouvez collaborer avec vos collègues sur la mise à jour d'applications et de cartes web, notamment les Story Maps, de trois manières. D'abord, l'administrateur de votre organisation peut mettre à jour n'importe quel élément de cette organisation. Par exemple, si une erreur grammaticale ou une erreur typographique a été détectée dans une Story Map qui a été publiée, un administrateur peut la rectifier immédiatement. Ensuite, certains membres de l'organisation qui ne sont pas administrateurs peuvent se voir attribuer un "rôle personnalisé" qui leur permet de mettre à jour n'importe quel élément de cette organisation. Troisièmement, il est possible de créer des groupes ArcGIS appelés " groupes de collaboration." au sein d’une organisation pour prendre en charge les activités basées sur des projets ou les activités d’équipe. Tous les membres d’un groupe de collaboration peuvent modifier les éléments partagés avec ce groupe. Pour éviter de perdre des modifications par écrasement, vous devez faire en sorte que les mêmes éléments ne puissent pas être modifiés par plusieurs personnes en même temps. Notez que pour que les membres d’un groupe de collaboration puissent mettre à jour des récits créés avec Story Map Tour ou Story Map Shortlist, l’application et la carte web dans laquelle elle enregistre les lieux doivent toutes deux être partagées avec ce groupe.
Pour plus d’informations, consultez ce billet de blog.
Vous pouvez dupliquer votre Story Map pour en créer une copie de sauvegarde ou réutiliser ses caractéristiques (aspect et convivialité) dans un autre récit cartographique. Cette fonction n’est actuellement pas prise en charge dans les générateurs d’applications Story Map dans ArcGIS Online. Vous pouvez utiliser l’outil ArcGIS Online Assistant non pris en charge pour dupliquer votre application. Vous pouvez effectuer une copie de sauvegarde de n’importe quelle carte web en l’ouvrant dans ArcGIS Online et en choisissant Save As (Enregistrer sous).
Si vous copiez une Story Map à l’aide de ArcGIS Online Assistant, les images chargées dans votre narration sont également copiées. Les images référencées dans la Story Map copiée pointent encore sur la Story Map d’origine, et il vous faudrait donc à nouveau charger les images afin que votre narration copiée soit autonome. De plus, il n’est pas recommandé de copier un récit qui utilise les modèles d’application Story Map Shortlist ou Story Map Tour. Ces applications stockent les endroits qu’elles contiennent dans une carte web associée qui n’est pas copiée si vous copiez la Story Map, et il est impossible de pointer la Story Map copiée sur une carte web différente. Par exemple, si vous copiez une Shortlist, la copie et la Shortlist originale pointeront sur la même carte web, et vous risquez donc de perdre des données si vous continuez à apporter des modifications aux deux Shortlists.
Pour copier une Story Map entre deux organisations ou portails ArcGIS différents, consultez ce billet de blog.
Lorsque votre Story Map est diffusée sur des réseaux sociaux, tels que Facebook et Twitter, la publication utilise la miniature, le titre et le récapitulatif de votre récit, comme cela est défini dans l’application de cartographie web dans ArcGIS qui représente votre application Story Map. Vérifiez que votre entrée dans ArcGIS correspond à une miniature à l'aspect esthétique, qu'elle présente un titre correspondant au titre réel de votre Story Map, ainsi qu'un récapitulatif instructif. N’oubliez pas que le récapitulatif figurant sur la page des détails n’est pas automatiquement le même que le sous-titre (le cas échéant) éventuel de votre Story Map. Assurez-vous de mettre à jour le récapitulatif dans les détails d’élément afin de le rendre utile : ne répétez pas simplement le titre de votre Story Map dans le récapitulatif. Les personnes verront à la fois le titre et le récapitulatif sur la page des détails d’élément dans les tweets, les publications Facebook et les résultats de recherche. Par exemple, si votre récit comporte un sous-titre, vous pouvez le copier et le coller dans le récapitulatif. Vous pouvez mettre à jour le nom, la miniature et le résumé de vos récits dans Mes récits ou dans Content (Contenu) > My Content (Mon contenu), dans ArcGIS.
Si vous avez téléchargé le code source d’une application Story Map et auto-hébergez le code, consultez ce billet de blog pour savoir comment améliorer l’apparence de votre récit sur les réseaux sociaux.
Vous pouvez activer le paramètre Activer la protection pour n'importe quel élément dans ArcGIS, par exemple votre Story Map et les cartes web que vous avez créées à son intention. Pour protéger un élément contre la suppression dans ArcGIS, accédez à Contenu > Mon contenu et ouvrez les détails de cet élément. Notez que certaines cartes web créées automatiquement par les applications Story Map, telles que la carte web qui est créée lorsque vous importez des données ponctuelles dans Story Map Shortlist en tant que sites, sont par défaut protégées contre la suppression. Nous vous recommandons également d'utiliser des dossiers dans Mon contenu d'ArcGIS pour organiser votre travail. Vous pouvez par exemple créer un dossier pour chacune de vos Story Maps et placer les cartes web créées pour un récit dans le dossier correspondant. Pour plus d'informations, consultez ce billet de blog.
Oui. Nous fournissons le code source de chaque application Story Map d'Esri cédée avec la licence Apache 2.0 et distribuée sur GitHub. Les développeurs peuvent télécharger gratuitement et modifier le code source. L'application modifiée peut ensuite être déployée sur un serveur web. Esri accepte avec tous ses remerciement toute contribution destinée au code. Vous pouvez trouver le lien permettant d'accéder à tous les référentiels GitHub sur la page de présentation de chaque application sur le site web Story Maps. Vous pouvez également accéder ici à tous les référentiels GitHub.
Pour héberger le code source d'une application Story Map, consultez ce billet de blog.
Vous trouverez plus d'informations, ainsi que des conseils à l'attention des développeurs, dans le coin des développeurs de Story Maps.
Lorsque vous créez une Story Map avec l’un des modèles d’application, vous utilisez les options du générateur interactif de cette application pour modifier son comportement et son apparence. Outre les options des générateurs, vous pouvez ajuster le style et le comportement des applications. Ces ajustements nécessitent souvent que vous ayez quelques connaissances du code HTML ou CSS. Pour en savoir plus, reportez-vous à nos billets de blog et particulièrement à notre blog Coin des développeurs de Story Maps. Si vous souhaitez apporter davantage de personnalisations et aller au-delà des options proposées par les générateurs interactifs ou réalisables via le code HTML ou CSS, il est possible de modifier le code source des applications. Cela requiert alors des connaissances en développement. Vous pouvez télécharger le code source, apporter des modifications, puis héberger le code sur votre propre site web ou serveur web. Vous devez uniquement héberger le code vous-même. Vos cartes et données demeurent hébergées dans ArcGIS. Pour héberger le code source d'une application Story Map, consultez ce billet de blog. Pour consulter certaines personnalisations que les développeurs ont apportées aux modèles d’applications Story Map, cliquez sur ce lien pour ouvrir la bibliothèque de Story Maps en ayant sélectionné l’option Customized (Personnalisé) dans le menu Format de la bibliothèque. Si vous choisissez de télécharger et d'auto-héberger le code source d'une application, votre code source ne reflète pas automatiquement les mises à jour que nous apportons à la version hébergée dans ArcGIS au fur et à mesure que nous corrigeons les problèmes et améliorons l'application.
Les applications Story Maps Labs sont des Story Maps personnalisées uniques créées par l’équipe Esri Story Maps dans le cadre de projets particuliers. Ces Story Maps ne reposent pas sur les modèles d’applications Story Map. Nous les développons intégralement dans le but d’expérimenter de nouvelles approches et créons des prototypes de nouvelles conceptions et mises en page que nous pouvons par la suite adapter en nouveaux modèles et options destinés à la communauté. Les modèles d’applications Story Map sont tous issus de conceptions Story Maps Labs. Pour consulter des exemples d’applications Story Map Labs, cliquez sur ce lien pour ouvrir la bibliothèque de Story Maps en ayant sélectionné l’option Story Maps Labs dans le menu Apps (Applications) déjà sélectionné de la bibliothèque. Nous ne partageons pas publiquement le code source des applications Story Maps Labs car il s’agit d’applications uniques qui ne sont pas conçues pour être déployées facilement avec des cartes et des données différentes. Mais si vous remarquez un récit Story Maps Lab qui vous intéresse, ne le perdez pas de vue car il est possible que nous soyons en train d’en faire un nouveau modèle ou une nouvelle option dans un modèle existant.
Oui, vous pouvez afficher les Story Maps dans tous les navigateurs web courants sur ordinateurs, tablettes et téléphones. A l'exception de Story Map Basic, les applications présentent des mises en page réactives qui s'ajustent automatiquement pour s'afficher sur les écrans plus petits des appareils mobiles, par exemple, ou si elles sont incorporées dans des fenêtres de plus petite taille sur des pages web.
Vous pouvez créer des Story Maps dans tous les navigateurs web courants, avec les exceptions suivantes :
Pour des performances optimales et une meilleure expérience, utilisez la dernière version de votre navigateur. Les utilisateurs d'Internet Explorer doivent utiliser la version 11. Les versions antérieures d’Internet Explorer ne sont pas prises en charge, car certaines entités risquent de ne pas fonctionner ou des problèmes inattendus peuvent se produire si vous les utilisez pour afficher ou créer un récit.
L’utilisation d’Internet Explorer pour afficher ou créer des présélections Story Map Shortlist sous Windows 10 n’est pas recommandée, à cause d'un problème technique provoquant parfois une erreur lors de l'actualisation de l'écran. Ce problème n’existe pas dans Internet Explorer sous Windows 7.
L’utilisation d’Internet Explorer ou Edge pour créer des Story Map Tours n’est pas recommandée, à cause d’un problème technique empêchant de tracer un cadre autour d’un texte pour le sélectionner et le mettre à jour lors de la création de visites à l'aide des mises en page à trois panneaux ou intégrées.
Oui. Puisque les Story Maps font partie de la plateforme ArcGIS, le support technique d'Esri est disponible.
Actuellement, les Story Maps ne peuvent pas être utilisées hors connexion. Pour utiliser votre Story Map, les utilisateurs doivent être connectés à Internet ou au réseau de votre entreprise s’ils utilisent ArcGIS Enterprise. Les applications Story Map Journal et Story Map Cascade comportent une option d’impression (accessible via le bouton Link (Lien) dans leur en-tête) qui permet de créer un fichier PDF.
Oui.
Dans l'application Story Map Cascade, vous pouvez inclure une scène web ArcGIS 3D dans une section. Vous pouvez choisir une scène via la boîte de dialogue Sélecteur de supports dans le générateur de cette application.
Dans les applications Story Map Journal et Story Map Series, vous pouvez utiliser une scène web 3D ArcGIS à la place d'une carte web pour représenter une entrée de série ou de section de journal. Lorsque vous avez créé votre scène web ou que vous avez trouvé celle que vous souhaitez utiliser, ouvrez-la dans ArcGIS Online et copiez l'URL de la visionneuse de scènes web. Dans le générateur Story Map Journal ou Story Map Series, choisissez l'option permettant d'incorporer une page web. Collez votre URL dans la boîte de dialogue. Pour optimiser les résultats, ajoutez &ui=min à la fin de votre URL pour masquer l'en-tête de la visionneuse et les outils de création de scènes dont vous n'aurez pas besoin dans votre scène incorporée. Consultez l’exemple ci-dessous :
http://story.maps.arcgis.com/home/webscene/viewer.html?webscene=91b46c2b162c48dba264b2190e1dbcff&ui=min
Pour plus d'informations, consultez ce billet de blog.
Cela est possible dans Story Map Journal, Story Map Series et Story Map Cascade, grâce à l'option permettant d'incorporer une page web. Cette opération risque de ralentir le chargement de votre Story Map selon l'élément que vous incorporez. Utilisez toujours l'option Remplissage de Story Map Series et Story Map Journal lorsque vous incorporez du contenu web dans ces applications, afin que le contenu s'agrandisse pour remplir tout l'espace disponible. Les applications Story Map peuvent être incorporées dans les trois applications mentionnées ci-dessus. Vous pouvez ainsi incorporer une application Story Map Journal dans un onglet Story Map Series. Il est également possible d'incorporer une application Story Map Swipe and Spyglass dans une section Story Map Journal. Lorsque vous incorporez des applications Story Map Tour ou Story Map Swipe and Spyglass, vous pouvez ajouter le paramètre &embed dans l'URL de l'application pour supprimer son en-tête.
Consultez ce billet de blog et de billet de blog pour obtenir plus d'informations et des conseils sur l'incorporation de contenu web dans votre Story Map.
Pour résoudre les problèmes liés au contenu incorporé dans les Story Maps, notamment les informations sur l'utilisation du contenu HTTP/HTTPS mélangé, consultez ce billet de blog.
Reportez-vous à la question suivante ci-dessous pour obtenir des informations importantes sur l’utilisation de contenu HTTP/HTTPS mixte.
Esri améliore la sécurité des Story Maps
Vos Story Maps vivent sur le web, et la communauté web s’efforce en permanence d’établir et de mettre en œuvre une meilleure sécurité. HTTPS, qui offre une connexion sécurisée pour le contenu transmis via Internet, émerge en tant que mode d’accès normal au contenu web. La plupart des navigateurs actuels affichent à présent un avertissement lorsque HTTP est utilisé au lieu de HTTPS. En raison de l’émergence de cette norme, nous vous conseillons vivement d’utiliser des liens HTTPS pour créer et partager des Story Maps, et de n’utiliser des URL HTTPS que pour incorporer du contenu web ou pour référencer des images dans une Story Map.
Concrètement, cela signifie que l’accès à une Story Map et à tout son contenu (y compris les images, les couches, les applications intégrées et les sites web) doit s’effectuer via des liens commençant par HTTPS et non pas HTTP. Ceci garantit à vos lecteurs la meilleure expérience, car la plupart des navigateurs web indiqueront que vos narrations sont sécurisées.
Que dois-je faire ?
Esri œuvre afin que ceci soit une transition facile pour les auteurs et les lecteurs de Story Map. Les générateurs Story Map et Mes récits proposent maintenant des outils vous aidant à repérer le contenu non sécurisé (HTTP) de vos narrations et vous donnant des conseils sur la manière de traiter ce contenu. Il convient de vérifier le contenu non sécurisé de vos récits et de le mettre à jour vers le protocole HTTPS dès que possible.
Que sont HTTP et HTTPS en fait ?
HTTP et HTTPS sont des protocoles qui définissent la manière dont les informations sont envoyées via le web entre votre ordinateur et d’autres ordinateurs. HTTPS est un protocole de communication sécurisé, ce qui signifie qu’il s’agit d’un protocole chiffré qui protège les informations que vous transmettez et que vous recevez, de sorte que seul le destinataire voulu puisse les lire.
Que puis-je faire si un contenu ne prend pas HTTPS en charge ?
Les outils fournis vérifient si le contenu de votre narration prend HTTPS en charge et vous permettent de réparer vos liens lorsque cela est possible. Si un contenu référencé via HTTP ne prend pas HTTPS en charge, vous disposez des options suivantes :
En suivant ces étapes, vous serez certain que vos lecteurs pourront accéder à vos narrations sans difficultés. Si vous avez besoin d’aide pour comprendre pourquoi un serveur ne prend pas HTTPS en charge ou comment héberger du contenu sur un serveur sécurisé, adressez-vous à votre service informatique.
Plus de détails sur cette situation :
Qu’en est-il des narrations que j’ai déjà publiées ?
Vous pourrez utiliser les nouveaux outils ajoutés à Mes récits pour vérifier les Story Maps que vous avez partagées, en particulier avec le public. Recherchez les URL HTTP pointant vers des images, des vidéos, des couches de carte, des applications web ou des pages web. Vous pouvez ignorez les liens HTTP en toute sécurité pour le contenu hébergé sur arcgis.com. Vous pouvez également ignorer le contenu vers lequel vous avez établi un hyperlien ; par exemple, si vous avez créé un hyperlien de texte vers un rapport PDF qui s’ouvre dans un nouvel onglet de navigateur, il peut s’agir d’un lien HTTP ou HTTPS. Vous ne devez vous préoccuper que du contenu chargé dans votre Story Map qui est hébergé en dehors du domaine arcgis.com.
Si vous trouvez un contenu référencé avec un lien HTTP, vous devrez mettre le serveur à jour avec un certificat valide afin qu’il prenne HTTPS en charge, trouver un autre moyen d’héberger le contenu de manière sécurisée ou supprimer le contenu de votre narration. Si vous devez supprimer le contenu d’une narration, vous pouvez toujours ajouter dans le texte de la narration un hyperlien allant ouvrir le contenu dans un nouvel onglet de navigateur.
Si le contenu constitue une image, vous pouvez le charger dans le générateur de Story Map ou l’héberger sur un serveur web différent prenant HTTPS en charge. Si le contenu constitue un service SIG, la méthode recommandée consiste à mettre à jour le serveur afin de prendre HTTPS en charge. Si cela est impossible, vous pouvez publier les données dans ArcGIS Online ou sur un serveur prenant HTTPS en charge. Si vous republiez les données à un autre emplacement, vous devrez mettre les URL à jour dans toutes les cartes web qui utilisent cette couche. Lorsque vous mettez un serveur existant à jour afin qu’il prenne HTTPS en charge, il se peut que l’URL de votre contenu change (par exemple, si le numéro de port était compris dans l’URL). Dans ce cas, vous devrez mettre les URL figurant dans votre narration à jour.
Comment les fonctionnalités de sécurité web d’un navigateur peuvent-elles affecter une Story Map ?
Dans certains cas, le problème est évident ; par exemple, lorsque le contenu intégré dans votre Story Map est bloqué et ne se charge pas. Dans d’autres cas cependant, l’impact est plus subtil. Par exemple, Safari bloque désormais l’utilisation de sa fonctionnalité de géolocalisation si du contenu (même une simple image) est chargé via une connexion non sécurisée (HTTP). Par exemple, vous avez créé un Story Map Tour et, lorsque vous avez ajouté le logo de votre organisation à l’en-tête, vous avez collé un lien HTTP vers l’image du logo. Cela signifie qu’une personne cherchant à utiliser votre narration via HTTPS à l’aide d’un iPhone ou d’un iPad ne sera pas en mesure d’appuyer sur le bouton " locate me." (me localiser) pour se localiser sur la carte. Dans ce cas, votre narration se chargera encore et sera utilisable, mais elle n’offrira pas à vos lecteurs l’expérience voulue. Les navigateurs web mettent continuellement en œuvre de nouvelles fonctionnalités de sécurité de ce type pour assurer la sécurité des utilisateurs. Il se peut que le problème mentionné dans cet exemple n’affecte que les utilisateurs de Safari pour l’instant, mais il est probable que bientôt les autres navigateurs mettent également en œuvre cette mesure de sécurité.
Vous avez besoin de plus d’informations sur la sécurité web et les protocoles HTTPS/HTTP ?
Pour pouvoir utiliser des services Premium dans une Story Map, vous devez authentifier le service. Cette opération pourra consommer des crédits de votre organisation lorsque des utilisateurs consulteront votre récit. Pour plus d'informations, consultez ce billet de blog.
Pour des raisons techniques, il n'est plus possible d'utiliser des photos Facebook dans une Story Map. La prise en charge de Facebook est supprimée de toutes les applications Story Map depuis septembre 2016. Gardez à l'esprit que les photos Facebook ajoutées avant cette date risquent de ne plus s'afficher correctement. Si vous avez utilisé des photos Facebook, nous vous recommandons de vérifier vos récits dans la section Mes récits de ce site web. La section Mes récits vous informera si le contenu d'un de vos récits est endommagé, notamment les photos Facebook.
Oui. Le mode de lecture automatique est utile pour afficher une Story Map sur un écran public, à savoir un kiosque dans un centre d'accueil ou une exposition, et la lire automatiquement. Ce mode propose un contrôle qui permet d'interrompre la lecture automatique et de régler la vitesse. Lorsque la lecture automatique est interrompue, les utilisateurs peuvent interagir normalement avec la Story Map, puis réactiver la lecture automatique. La lecture automatique est prise en charge dans tous les modèles d’application Story Map à l’exception de Story Map Basic. Dans Story Map Swipe and Spyglass, la lecture automatique est prise en charge lorsqu’une série de balayages a été définie.
Pour activer la lecture automatique d'une Story Map, cliquez sur le bouton Lien dans l'en-tête et, dans la boîte de dialogue qui apparaît et qui affiche une URL courte de la Story Map, activez l'option Mode de lecture automatique. Vous ajoutez ainsi le paramètre de lecture automatique dans l'URL courte qui est générée. Le mode de lecture automatique ne peut pas être activé sur les petits écrans, comme ceux des téléphones ou dans les fenêtres intégrées. Consultez ce billet de blog.
Le modèle d’application Story Map Crowdsource a été à l’origine proposé en version bêta en juin 2016. L’équipe Esri Story Maps a ensuite décidé de se concentrer sur les récits narratifs et géographiques dans lesquels le contenu est assemblé par vous, l’auteur du récit, et non de manière collaborative par vos lecteurs. Nous ne prévoyons pas de continuer à proposer une application collaborative autonome. Esri fournit plusieurs autres applications collaboratives et de collecte de données (cliquez ici pour en savoir plus). C’est pour cela que dans la mise à jour de juin 2018 de ArcGIS Online, Story Map Crowdsource est passé en phase de Prise en charge éprouvée du cycle de vie des produits Esri. Ce changement de statut signifie que le modèle Story Map Crowdsource a été supprimé de la bibliothèque des applications configurables ArcGIS Online et qu’il n’apparaîtra plus sur la page des applications du site web des Story Maps. Le support technique est toujours fourni pour les produits en phase de prise en charge éprouvée, donc le produit est toujours pris en charge par Esri.
Si vous avez créé une Story Map avec le modèle Story Map Crowdsource, elle continuera de fonctionner et vos lecteurs y auront toujours accès. Ces derniers pourront toujours participer à votre récit et vous serez en mesure de le mettre à jour et de l’organiser. Vos récits Story Map Crowdsource seront toujours répertoriés dans My Stories (Mes récits) sur ce site web et dans My Content (Mon contenu) dans ArcGIS Online. Toutefois, en tant qu’application placée en phase de prise en charge éprouvée, aucune nouvelle fonctionnalité ne sera ajoutée à Story Map Crowdsource dans les versions à venir et aucun problème ou bogue signalé ne sera corrigé.
Vous pouvez toujours créer un nouveau récit avec Story Map Crowdsource après son transfert en phase de prise en charge éprouvée, même si ce n’est pas recommandé. Bien que Story Map Crowdsource soit toujours accessible en phase de prise en charge éprouvée, les modifications apportées à ArcGIS ou à certains navigateurs web qui affectent ses fonctionnalités risquent à tout moment d’endommager les récits créés avec ce modèle. En règle générale, Esri recommande aux clients de ne pas créer de nouvelles applications avec des modèles d’applications en phase de prise en charge éprouvée. Si vous acceptez ce risque, vous pouvez créer un récit Crowdsource sur la page des éléments Story Map Crowdsource. Notez que ce lien mène à la page générique des détails des éléments ArcGIS.com de l’application Crowdsource. Vous devrez vous connecter pour voir le bouton Create A Web App (Créer une application Web) sur cette page. Par exemple, faites défiler cette page jusqu’à la section Comments (Commentaires) et cliquez sur le lien Sign-In (Connexion). Cela permet de vous connecter tout en restant sur cette page des éléments. Vous devez disposer des privilèges d’éditeur sur votre compte pour pouvoir créer une application Story Map Crowdsource (car elle crée un service d’entités ArcGIS Online derrière les scènes dans lesquelles les lieux de votre application Crowdsource sont stockés).
Vous trouverez une sélection des applications Story Map Crowdsource créées par la communauté des utilisateurs ici. Il s’agit de l’ensemble des applications Crowdsource que nous avons mises en évidence dans la bibliothèque des Story Maps Esri.
Pour plus d'informations, consultez ce billet de blog.
La section 508 de la loi sur la réhabilitation de 1973 est une loi du gouvernement des Etats-Unis qui exige que les agences fédérales rendent leur contenu web accessible aux personnes présentant un handicap. Des lois et des réglementations similaires concernant l'accessibilité ont été adoptées dans de nombreux autres pays. L’accessibilité est un aspect clé pour Esri, qui souhaite que tous les utilisateurs puissent accéder aux cartes, aux applications et aux données.
L'équipe des Story Maps d'Esri a commencé à travailler sur la conformité avec la section 508 pour les applications Story Maps en 2015 et s'est concentrée sur la navigation au clavier, la prise en charge du lecteur d'écran et le contraste des couleurs, comme indiqué dans les directives Web Content Accessibility Guidelines (WCAG) du World Wide Web Consortium. En particulier, les applications Story Map Tour, Story Map Journal, Story Map Series et Story Map Cascade ont bénéficié d'améliorations en termes d'accessibilité, notamment l'optimisation des lecteurs d'écran et de la navigation au clavier. D'autres améliorations sont prévues dans ce domaine.
Les applications Story Map comportent deux composants : 1) un générateur qui permet à un auteur de créer un récit, et 2) une visionneuse qui présente le récit au public. Notre approche de l'accessibilité pour les Story Maps est de se concentrer sur l'accessibilité de la visionneuse, car il s'agit de la partie de l'application qui est rendue accessible sur les sites web internes ou publics avec laquelle les employés fédéraux et/ou les citoyens interagissent.
Le modèle de l’application Story Map Journal a en particulier fait l’objet d’améliorations récentes en vue d’une meilleure accessibilité. Pour plus d’informations, consultez cette question dans la section Story Map Journal de cette page du FAQ.
Pour obtenir les dernières informations sur les améliorations d’accessibilité effectuées dans les Story Maps, consultez ces billets de blog.
Les Story Maps sont intégrées à des technologies Esri qui offrent du contenu géographique, et ArcGIS Online (VPAT) comme ArcGIS Enterprise (VPAT) sont conformes à la section 508. Pour plus d'informations sur la conformité de la technologie d'Esri avec la section 508, reportez-vous à la rubrique concernant la section 508 et l'engagement d'Esri par rapport à l'accessibilité ou envoyez des questions précises concernant la conformité d'Esri avec les réglementations américaines, européennes et autres à l’adresse Section508@esri.com.
Découvrez toutes les nouveautés des applications Story Map dans nos derniers billets de blog Nouveautés.
Vous pouvez stocker vos images à plusieurs endroits tant qu'ils sont accessibles sur le web. Nous offrons un accès simplifié aux images dans Flickr et Google+. Si vous utilisez un compte d'abonnement ArcGIS doté de privilèges d'éditeur, vous pouvez charger des images stockées sur votre ordinateur directement dans le générateur Map Tour pour les héberger dans le cloud d'Esri. Ceci est pratique si vos images ne sont pas encore en ligne ou si vous créez un Map Tour qui sera partagé uniquement à l'intérieur de votre organisation à l'aide d'images que vous ne souhaitez pas rendre accessibles publiquement. Les images doivent être au format JPG afin que vous puissiez les charger dans le générateur Map Tour.
Vous pouvez également référencer des images directement en indiquant leur URL si elles sont hébergées sur votre serveur web ou ailleurs sur le web. Notez que si vous référencez vos images à l'aide des URL, elles ne sont pas optimisées pour le Map Tour. Veillez par conséquent à respecter les tailles d'images recommandées. Consultez la question ci-dessous à ce sujet. Si vous ne parvenez pas à redimensionner vos images pour optimiser les performances, il n'est pas conseillé de les référencer via des URL. Vous devez plutôt les héberger dans Flickr ou les charger dans votre Map Tour. Évitez de référencer sur le web des images sur lesquelles vous n’avez pas de contrôle : il s’agit d’un problème courant dans des Maps Tours qui pointent sur des images sur le web qui ne sont plus accessibles car elles ont été supprimée, déplacées ou renommées. Les images référencées directement via des URL doivent utiliser HTTPS. Évitez d’ajouter des images (ou tout autre contenu) ne pouvant pas être référencées via HTTPS. Ceci offrira à vos lecteurs une expérience optimale lorsqu’ils affichent votre Story Map car cela aidera à garantir que votre récit est entièrement conforme avec le protocole HTTP et donc empêchera les navigateurs web d’avertir vos lecteurs que votre récit est potentiellement risqué. Reportez-vous à cette question du FAQ pour plus d’informations sur la sécurité web et le contenu des Story Maps.
Non. Lorsque vous lancez le générateur Story Map Tour à partir du site web Story Maps, une carte web est automatiquement créée pour votre visite.
Oui. Vous pouvez modifier la carte web utilisée dans votre visite pour ajouter des couches complémentaires, telles que les limites d'une zone d'étude ou une ligne indiquant l'itinéraire entre les points de votre visite. Pour modifier la carte web, accédez à Mes récits, localisez votre visite et cliquez sur Modifier la carte près de la carte web correspondante ou accédez à Contenu > Mon contenu dans ArcGIS et ouvrez la carte web.
Vous pouvez utiliser des images de toutes tailles et formes dans un Story Map Tour, mais nous vous recommandons une orientation de type paysage (c'est-à-dire, des images plus larges que hautes), au lieu de l'orientation de type portrait. Le rapport hauteur/largeur recommandé est 4:3.
Dans les options de mise en page à trois panneaux et intégrée, les images 4:3 remplissent correctement la surface disponible et optimisent l’espace pour vos légendes sans couvrir une trop grande partie de l’image. Pour optimiser l’apparence des Map Tours créés avec ces deux mises en page, toutes les images doivent présenter la même taille et les mêmes proportions pour que les utilisateurs ne soient pas distraits lors de la visite par des images aux formes différentes.
Dans la mise en page à panneau latéral, nous recommandons également des images 4:3 mais n’oubliez pas que cette mise en page rogne les images en fonction de la forme de la fenêtre du navigateur web (sauf si les images sont affichées sur un téléphone). Si vous ne souhaitez pas que vos images soient rognées, peut-être parce qu’il s’agit d’images d’infographie ou de diagrammes, utilisez à la place la mise en page à trois panneaux ou intégrée.
Si vous utilisez l’option d’importation des images stockées sur Flickr ou Google+, Map Tour tire parti des optimisations du mode de stockage de vos photos dans ces services. Les images de toute taille stockées dans Flickr ou Google+ sont chargées rapidement dans votre récit car le Map Tour demande automatiquement à ces systèmes la taille appropriée lorsqu’il trace les images. Il demande également la taille d’image de miniature pour le vidéorama de miniatures affiché par les options de mise en page à trois panneaux ou intégrée.
Si vous utilisez l’option de téléchargement direct des images dans le générateur Story Map Tour, ce dernier par défaut redimensionne automatiquement les images dont la largeur dépasse environ 1 000 pixels pour en optimiser l’utilisation dans le Map Tour. Nous vous recommandons de toujours accepter ce redimensionnement lorsque vous chargez une image pour ajouter un nouvel endroit dans une visite. Le générateur vous offre la possibilité de ne pas redimensionner les images que vous chargez, mais si vous utiliser cette option votre image ne sera pas optimisée en vue de l’affichage et vous obtiendrez des performances médiocres si vous chargez une image volumineuse. Si vous ne choisissez pas l’option de redimensionnement par défaut, évitez de charger une image dont la taille dépasse largement 400 Ko. Pour l’image que vous utilisez pour la page de couverture facultative dans la nouvelle mise en page à panneau latéral, qui remplit entièrement l’écran, vous pouvez obtenir l’apparence la plus nette en chargeant une image de 2 000 pixels de largeur et 1 500 pixels de hauteur et en choisissant l’option de ne pas redimensionner automatiquement l’image, mais essayez d’utiliser une image dont la taille est inférieure à 400 Ko. Notez que si vous mettez à jour l’image utilisée pour un endroit existant et chargez une image différente, cette nouvelle image n’est pas automatiquement redimensionnée : elle est utilisée telle quelle. De ce fait, veillez à ne pas utiliser d’images volumineuses lorsque vous remplacez des images chargées En plus d’optimiser la vitesse de dessin de votre visite, une autre raison d’éviter de charger des images volumineuses est que le fait de les stocker pourrait consommer plus de crédits ArcGIS Online. Lorsque vous chargez des images, le générateur génère automatiquement les images miniatures pour le vidéorama de miniatures.
Vous pouvez également générer des Map Tours en référençant directement les images sur le web via des URL. Gardez à l’esprit que si vous référencez des images via des URL, le générateur Map Tour n’optimise pas ces images pour un affichage rapide : elles sont affichées telles quelles. Si vous référencez des images sur le web directement via des URL, la taille de fichier de chaque image doit idéalement être inférieure à 400 Ko. Les images dont la taille est plus importante risquent de ralentir les performances. Un problème courant est que des Map Tours référencent des images sur le web qui sont très lentes à charger en raison de leur taille de fichier volumineuse. Nous recommandons fortement d’utiliser des images au format JPG et d’enregistrer ces images selon une qualité de 80 % afin de réduire la taille. Ceci n’a pas d’effet visible sur l’apparence visuelle des images. La taille de fichier en Ko est plus importante que la largeur de l’image en pixels pour déterminer la vitesse, mais vous pouvez bien entendu redimensionner les images volumineuses pour en réduire la taille. Les images référencées par des URL dans des Map Tours n’ont pas réellement besoin d’avoir une taille supérieure à 1 000 pixels de largeur par 750 pixels de hauteur. Aussi, redimensionner les images plus volumineuses à cette taille est un bon moyen pour en réduire la taille, mais il n’est généralement pas nécessaire de les redimensionner si leur taille est déjà égale ou inférieure à 400 Ko. Pour la nouvelle mise en page de panneau latéral, les images de 1 000 par 750 pixels ont une bonne apparence, mais si vous souhaitez que vos images de panneau latéral paraissent très nettes sur les affichages plus grands, en particulier l’image que vous utilisez pour la page de couverture facultative, qui remplit entièrement l’écran, vous pourriez utiliser des images faisant jusqu’à 2 000 pixels de largeur et 1 500 pixels de hauteur. Si vous utilisez des images référencées via des URL et dont la taille est de 2 000 x 1 500, assurez-vous que ces images ne dépassent pas 400 Ko. Si vous voulez changer un Map Tour existant qui utilise la mise en page à trois panneaux ou intégrée pour utiliser à la place la mise en page à panneau latéral, et que vous prévoyez d’utiliser l’option de page de couverture, vous pouvez spécifier une image ayant une résolution supérieure pour le premier point de votre visite (utilisé pour définir le contenu de la page de couverture).
Si vous créez une visite en référençant des images sur le web via des URL, vous devez fournir une image miniature distincte pour chaque endroit. (Si vous essayez et utilisez la même image pour l’image principale d’un endroit et sa miniature, ceci ralentit les performances pendant le traçage des miniatures). Pour les images miniatures référencées par des URL, une taille de 250 pixels de largeur sur 166 pixels de hauteur est recommandée. La nouvelle mise en page à panneau latéral n’affiche pas les miniatures, mais celles-ci doivent encore être spécifiées lorsque vous construisez une visite à panneau latéral pour maintenir la compatibilité avec les autres mises en page.
N’oubliez pas que les images chargées dans les Map Tours ou référencées via des URL ralentissant les performances en raison de leur taille peuvent vous donner l’impression de se charger rapidement. Ceci s'explique par le fait qu'après les avoir affichées une fois au cours du processus d'autorisation, elles ont été mises en cache dans votre navigateur web. Leur affichage paraîtra en revanche lent aux utilisateurs qui consultent votre Map Tour.
Si vous référencez des images sur le web directement via des URL, assurez-vous que ces URL commencent par HTTPS et non pas HTTP. Évitez d’ajouter des images (ou tout autre contenu) ne pouvant pas être référencées via HTTPS. Ceci offrira à vos lecteurs une expérience optimale lorsqu’ils affichent votre Story Map car cela aidera à garantir que votre récit est entièrement conforme avec le protocole HTTP et donc empêchera les navigateurs web d’avertir vos lecteurs que votre récit est potentiellement risqué. Reportez-vous à cette question du FAQ pour plus d’informations sur la sécurité web et le contenu des Story Maps.
Oui. Vous pouvez charger automatiquement plusieurs vidéos YouTube. Vous pouvez également référencer des vidéos individuelles provenant de YouTube, de Vimeo ou d'autres systèmes en indiquant leurs URL. Pour plus d'informations, consultez ce billet de blog. Si vous utilisez des vidéos dans un Map Tour avec la nouvelle mise en page de volet latéral, notez que vous ne pouvez actuellement pas lire les vidéos dans le générateur. Les vidéos peuvent toutefois être lues lorsque vous affichez un aperçu de votre visite ou l’ouvrez. Vous ne pouvez pas utiliser les vidéos comme support de la page de couverture dans la mise en page de volet latéral Le générateur Map Tour vous laissera enregistrer un Map Tour de volet latéral avec une vidéo comme support de couverture, mais cette vidéo n’apparaît pas sur la page de couverture lorsque vous affichez un aperçu de la visite ou la partagez. Dans ce cas, remplacez la vidéo par une image attrayante.
Oui. Vous pouvez utiliser des balises HTML standard pour formater le texte de vos légendes et également ajouter des hyperliens. Par exemple, ce Map Tour utilise des balises HTML pour mettre en forme le texte de la légende et ajouter un hyperlien à un site web. Si vous ajoutez des hyperliens, utilisez le paramètre target="blank" pour que votre lien cible s’ouvre dans un nouvel onglet et que vos lecteurs puissent reprendre leur visite en fermant cet onglet sans perdre leur position d’origine. Consultez ce billet de blog concernant l'ajout du format HTML et de liens dans les légendes Story Map Tour. Les balises HTML permettent également de mettre en forme le titre et le sous-titre d'un Map Tour.
Pour des raisons de sécurité, ArcGIS autorise uniquement l’utilisation d’un jeu spécifique de balises HTML. Dans le générateur Story Map Tour, si vous ajoutez des balises HTML non prises en charge dans le titre, les noms ou les légendes de la visite, vous verrez simplement ces balises apparaître sous forme de texte, ou le générateur risque de produire le message d’erreur " Save failed due to an invalid html tag in a name or description (L’enregistrement a échoué en raison d’une balise HTML non valide dans un nom ou une description)." lorsque vous cliquez sur Save (Enregistrer) (auquel cas vous devez supprimer la balise non prise en charge pour procéder à l’enregistrement). Voici la liste standard des balises HTML prises en charge. Story Map Tour prend également en charge la balise hr pour obtenir une ligne de règle horizontale dans une légende, comme dans l’exemple ci-dessus. Notez toutefois que, si vous utilisez l’option de chargement des images dans Story Map Tour, des restrictions supplémentaires s’appliquent aux balises HTML prises en charge que vous pouvez utiliser dans une visite, car cette option a recours à un service d’entités. Pour les services d’entités, reportez-vous à cette liste standard des balises HTML prises en charge. La balise hr n’est pas prise en charge dans les Map Tours qui utilisent des images chargées, mais vous pouvez utiliser une balise div définie sur style="border-top:1px solid #000" afin d’obtenir une règle horizontale (prise en charge uniquement dans la mise en page avec volet latéral). De même, la balise audio permettant d’intégrer des clips audio dans les légendes Map Tour n’est pas prise en charge dans les Map Tours utilisant des images téléchargées (consultez ce billet de blog sur l’ajout d’audio à Map Tour).
Oui. Si vous téléchargez et auto-hébergez l'application Story Map Tour, vous pouvez personnaliser les symboles ponctuels. Vous les trouverez dans le dossier resources/markers du code source. Il vous suffit d'ajouter des icônes pour les couleurs que vous souhaitez utiliser.
Oui. Si vous téléchargez et auto-hébergez l'application Story Map Tour, vous pouvez personnaliser l'application pour qu'elle affiche plus de 99 points. Reportez-vous à cette section dans le référentiel GitHub de Story Map Tour. Nous ne recommandons toutefois pas l'utilisation de plus de 99 points dans une visite, lesquels représenteraient pour votre public des volumes importants de données à visualiser. Vous pouvez donc diviser votre Map Tour important en plusieurs visites plus petites et plus ciblées parmi lesquelles votre public pourra faire son choix.
Oui. Il existe deux options pour ceci.
Vous pouvez télécharger un fichier CSV définissant le schéma de champ Map Tour à partir des options avancées de la boîte de dialogue Map Tour Builder Welcome (Bienvenue dans le générateur Map Tour) lorsque vous lancez d’abord le générateur Story Map pour créer une nouvelle visite. Vous pouvez également accéder à ce modèle de fichier CSV ici. Vous pouvez utiliser ce modèle pour assembler vos endroits dans une feuille de calcul ou une table, exporter cette dernière en tant que fichier CSV, puis la charger dans la boîte de dialogue Advanced Options (Options avancées) à l’aide du bouton " Import Tour Data from a CSV file." (Importer les données de la visite à partir d’un fichier CSV). Cette option constitue un moyen utile de créer des visites à partir de données figurant déjà dans des feuilles de calcul ou des tables ou que vous exportez à partir de votre SIG. Elle nécessite que vos images soient référencées via des URL, car ces URL sont stockées en tant que valeurs dans le fichier CSV. Pour cette raison, vous ne pouvez pas utiliser cette option si vous souhaitez charger des images directement dans votre visite.
Vous pouvez également créer une couche de données qui utilise l’ensemble des champs attendus par le Map Tour, l’ajouter à une carte web ArcGIS, ouvrir cette carte web, puis la partager en créant une application Story Map Tour. Le générateur Map Tour reconnaît votre couche et l’utilise pour définir la visite. Cette couche utilise le schéma de champ défini dans le fichier CSV mentionné dans le paragraphe précédent. Les images doivent être référencées via des URL. Votre couche peut reposer sur un fichier CSV, un fichier de formes ou un service d'entités. Vous pouvez par exemple créer votre couche dans ArcGIS Desktop et la publier en tant que service d'entités. Les fichiers de formes ne sont pas recommandés, car la largeur des champs de texte est limitée à 254 caractères au maximum. Vérifiez qu’aucune plage de visibilité n’a été définie pour l’échelle de la couche incluse dans votre carte web, sans quoi votre Map Tour risquerait de ne pas se charger. Pour fonctionner dans Map Tour, la couche doit être visible à toutes les échelles sur la carte web. Pour plus d’informations sur les options de stockage des données d’un Map Tour, consultez cette section dans le référentiel GitHub de Story Map Tour
La nouvelle mise en page à panneau latéral n’affiche pas les miniatures, mais celles-ci doivent encore être spécifiées si vous créez un Map Tour à panneau latéral à l’aide d’un fichier CSV ou d’une couche sur une carte web. Il vous faut donc encore utiliser le schéma de champ Map Tour comportant des champs pour l’image principale et l’image miniature pour chaque point.
Dans la mise à jour de ArcGIS Online datant d’avril 2018, nous avons introduit une nouvelle option de mise en page, nommée Side Panel (Panneau latéral), dans le Story Map Tour. Ainsi, outre les deux options de mise en page d’origine (Trois volets et Intégrée), vous bénéficiez désormais d’une troisième option pour personnaliser votre Map Tour.
Pour comparer visuellement les trois options de mise en page maintenant disponibles dans Story Map Tour, consultez la page de vue d’ensemble Map Tour.
La mise en page à panneau latéral fournit une nouvelle apparence fraîche aux Map Tours. Dans la mesure où cette mise en page offre beaucoup plus de place aux images, elle fait réellement briller vos photos. Une page de couverture facultative est disponible, qui vous permet de remplir l’écran avec une magnifique image pour attirer l’attention des lecteurs avant qu’ils ne plongent dans votre visite. La mise en page à panneau latéral comporte une zone déroulante séparée destinée à vos légendes et ne chevauchant pas vos images. Elle comprend également un nouvel ensemble de symboles ponctuels de carte colorés, ainsi qu’un affichage optimisé sur les appareils mobiles et les écrans de petite taille.
Lorsque vous créez un nouveau Map Tour, vous pouvez choisir d’utiliser la nouvelle mise en page à panneau latéral ou l’une des deux mises en page d’origine. Pour choisir la mise en page d’un Map Tour, cliquez sur le bouton Settings (Paramètres) dans le générateur et, dans la boîte de dialogue qui s’affiche, faites votre choix dans l’onglet Layout (Mise en page). Lorsque vous créer un Map Tour à panneau latéral, le générateur présente une apparence nouvelle qui permet d’assembler facilement votre visite. Les boutons du générateur, par exemple Save (Enregistrer), Share (Partager) et Organize (Organiser), sont rassemblés dans un volet sur la gauche.
Pour que les légendes de vos images et narrations disposent d’un maximum d’espace à l’écran, le bas de la mise en page à panneau latéral ne comporte pas de vidéorama de miniatures. Une autre différence entre la mise en page à panneau latéral et les mises en page à trois panneaux et intégrées d’origine est que, dans la mise en page à panneau latéral, les images remplissent toujours l’espace disponible à l’écran, tout comme l’option Fill (Remplir) des modèles Story Map Series et Story Map Journal leur font remplir l’espace disponible. Ceci donne une belle apparence aux images mais celles-ci sont alors rognées sur certains écrans, en fonction de leur forme et de leur taille, et de la forme de la fenêtre du navigateur web du lecteur. Ceci diffère de la manière dont les images sont affichées dans les mises en page Map Tour d’origine, où elles s’affichent toujours intégralement sans être rognées. Les images que vous ne souhaitez pas voir rognées (par exemple, les images d’infographie ou comportant dans les parties gauche et droite du texte ou des éléments importants) ne sont donc pas recommandées dans la mise en page à panneau latéral. Toutefois, n’oubliez pas que dans les trois mises en page, les lecteurs peuvent survoler une image de votre visite et cliquer sur la commande d’expansion située dans le coin supérieur droit de l’image pour afficher celle-ci dans une fenêtre distincte intégralement et sans qu’elle soit rognée. Lorsqu’une visite avec la mise en page de volet latéral est consultée sur un petit écran ou un appareil mobile, les images s’adaptent à l’espace disponible et ne sont pas rognées.
Lorsqu’il affiche une Story Map à panneau latéral, le lecteur peut cliquer sur le titre figurant dans l’en-tête pour recommencer à partir du début. En outre, dans les mises en page à trois panneaux et intégrées, l’endroit sélectionné est affiché avec une fenêtre contextuelle noire. Dans une mise en page à panneau latéral, la carte est automatiquement centrée sur l’endroit sélectionné et le symbole est agrandi : aucune fenêtre contextuelle noire n’affiche l’endroit sélectionné.
Si vous utilisez des vidéos dans votre Map Tour à panneau latéral, vous ne pouvez actuellement pas les lire dans le générateur. Vous pouvez toutefois les lire lorsque vous ouvrez votre visite ou en affichez l’aperçu.
Une fonctionnalité attrayante et convaincante de la nouvelle mise en page à panneau latéral de Story Map Tour est la page de couverture facultative. Cette dernière vous permet de capter l’attention de votre audience par une magnifique image plein écran. Par défaut, lorsque vous créez un nouveau Map Tour à panneau latéral, l’option de page de couverture est désactivée. Pour configurer la page de couverture d’un Map Tour à panneau latéral, commencez par ajouter certains points de votre visite à votre visite, ou tous les points. Cliquez ensuite sur le bouton Organize (Organiser), puis, dans la boîte de dialogue qui s’affiche, assurez-vous que le point de visite à utiliser pour définir la page de couverture est le premier point de votre visite. Cochez ensuite simplement la case " Use the first point as a cover page." (Utilisez le premier point comme page de couverture) de cette boîte de dialogue. Le nom utilisé pour le premier point de votre visite deviendra le titre affiché au milieu de la page de couverture, la légende de ce point deviendra le sous-titre apparaissant en dessous de ce titre, et l’image de ce point sera utilisée comme image de la page de couverture. Le titre figurant dans l’en-tête noir situé en haut d’un Map Tour à panneau latéral est le titre effectif que vous avez spécifié pour la visite. En tant qu’auteur, vous pouvez choisir que le titre figurant au milieu de la page de couverture soit le même que celui figurant dans l’en-tête de la visite, ou tirer parti de la possibilité d’utiliser un texte différent pour chacun de ces titres.
La page de couverture à panneau latéral n’est pas visible en mode plein écran dans le générateur Map Tour. À la place, elle apparaît dans le générateur comme un endroit de la visite, ce qui vous permet de la mettre à jour. Pour voir comment votre page de couverture apparaîtra sur l’écran de vos lecteurs, il vous suffit d’ouvrir votre visite ou d’en afficher l’aperçu. Notez que la mise en page à panneau latéral ne vous permet pas d’utiliser une vidéo en tant que page de couverture. Le générateur Map Tour vous permet d’enregistrer un Map Tour à panneau latéral avec une vidéo en tant que support de couverture, mais cette vidéo n’apparaîtra pas sur la page de couverture lorsque vous ouvrez votre visite ou en affichez l’aperçu. Dans ce cas, remplacez la vidéo par une image attrayante.
L’option de page de couverture n’est pas disponible pour les mises en page à trois panneaux et intégrées d’origine.
Oui. Pour redéfinir un Map Tour existant afin qu’il utilise la nouvelle mise en page à panneau latéral, cliquez sur le bouton Settings (Paramètres), puis, dans la boîte de dialogue qui apparaît, choisissez cette mise en page dans l’onglet Layout (Mise en page). Vous pouvez également redéfinir votre Map tour sur sa mise en page d’origine si vous changez d’avis.
Si vous redéfinissez votre Map Tour afin qu’il utilise la mise en page à panneau latéral et que cette visite comporte un point de visite d’introduction défini (via la case à cocher de la boîte de dialogue Organize (Organiser)), votre visite à panneau contiendra automatiquement une page de couverture. La raison à cela est que la mise en page à panneau latéral utilise cette introduction pour définir la page de couverture. Si vous ne souhaitez pas de page de couverture pour votre visite à panneau latéral, cliquez sur le bouton Organize (Organiser), puis, dans la boîte de dialogue qui apparaît, décochez la case " Use the first point as a cover page." (Utilisez le premier point comme page de couverture).
Si l’en-tête de votre Map Tour existant comporte un sous-titre, ce dernier ne s’affiche pas dans l’en-tête noir de la mise en page à panneau latéral. De pas sa conception, l’en-tête à panneau latéral n’affiche que le titre de la visite. Pour présenter un sous-titre à vos lecteurs, vous pouvez utiliser ce texte dans la page de couverture de votre panneau latéral en mettant à jour la légende du premier point de votre visite de sorte qu’elle utilise le texte que vous souhaitez pour votre sous-titre.
Les couleurs que vous avez spécifiées dans l’onglet Colors (Couleurs) de la boîte de dialogue Settings (Paramètres) ne sont pas utilisées dans la mise en page à panneau latéral. Vous constaterez que dans la boîte de dialogue Settings (Paramètres), l’onglet Colors (Couleurs) est désactivé lorsque vous utilisez un Map Tour à panneau latéral . En effet, ces couleurs ne s’appliquent pas à la mise en page à panneau latéral.
Si vous redéfinissez un Map Tour existant afin qu’il utilise la mise en page à panneau latéral avec une page de couverture activée et que votre visite utilise un niveau de zoom (défini via l’onglet Zoom Level (Niveau de zoom) de la boîte de dialogue Settings (Paramètres)), lorsque vos lecteurs commencent votre visite, ils verront le premier endroit de la visite sur la carte affiché à ce niveau de zoom spécifié. Vos lecteurs ne verront que l’étendue de votre visite (l’étendue définie dans l’onglet Extent (Étendue) de la boîte de dialogue Settings (Paramètres)) s’ils cliquent sur le bouton Home (Accueil) sur la carte. Il s’agit du comportement normal. Dans les mises en page à trois panneaux et intégrées, lorsqu’un niveau de zoom est utilisé, l’étendue de votre visite est affichée sur la carte lorsque votre visite démarre, puis le niveau de zoom est appliqué lorsque le lecteur avance jusqu’au premier point de la visite.
Pour que les légendes de vos images et narrations disposent d’un maximum d’espace à l’écran, le bas de la nouvelle mise en page à panneau latéral ne comporte pas de vidéorama de miniatures. Toutefois, la Map Tour à panneau latéral utilise le même schéma de données que les mises en page à trois panneaux et intégrées d’origine et nécessite que des miniatures soient définies, même si elles ne sont pas affichées dans la mise en page à panneau latéral. En effet, ceci vous permet de redéfinir la visite à panneau latéral de sorte qu’elle utilise l’une des autres mises en page si vous le souhaitez. Si vous utilisez les workflows les plus courants pour créer un Map Tour, à savoir pour charger les images directement dans le générateur ou utiliser des images existantes à partir de Flickr, le générateur Map Tour génère automatiquement des miniatures pour vous, quel que soit la mise en page que vous utilisez. Si vous créez un Map Tour à panneau latéral en chargeant un fichier CSV dans le générateur ou en publiant une carte web contenant une couche qui utilise ce schéma de données, il vous faut toujours un champ définissant les images miniatures pour vos endroits. Si vous ajoutez des endroits à une visite à panneau latéral en utilisant la boîte de dialogue Add (Ajouter) et en collant les URL des images, vous devez encore fournir les URL d’une image principale et d’une image miniature.
Oui. Consultez ces billets de blog pour obtenir plus de conseils et d'astuces sur Story Map Tour.
Oui. Mettez en surbrillance le texte à convertir en lien, puis dans la section Actions de narration de la barre d'outils Volet latéral, cliquez sur le bouton Accéder à une section. Vous êtes invité à choisir la section de votre journal vers laquelle le lien doit diriger vos lecteurs.
Les actions de narration sont également prises en charge dans Story Map Series.
Dans le générateur Story Map Journal, nous proposons de superbes couleurs par défaut pour commencer à travailler. Si vous utilisez un compte faisant partie d’une organisation ArcGIS, l’administrateur peut aussi créer un thème partagé contenant un jeu de couleurs personnalisé qui sera utilisé par les applications Story Map Journal et Story Map Series. Si vous souhaitez personnaliser davantage les couleurs, vous pouvez télécharger et auto-héberger l'application. Reportez-vous à cette section dans le référentiel GitHub de Story Map Journal.
L’application Story Map Journal a été améliorée pour accroître l’accessibilité de sorte que le plus vaste éventail possible de personnes puisse lire le contenu Map Journal. Vous pouvez naviguer parmi les journaux cartographiques à l’aide du clavier, ainsi que de technologies d’assistance telles que les lecteurs d’écran. Les créateurs de journaux cartographiques peuvent ajouter un texte de remplacement pour tous les médias, notamment les images, vidéos, cartes et cartes web, dans la " grande scène." ou dans le panneau de narration. Pour plus d’informations sur l’ajout de texte alternatif à votre application Story Map Journal en vue d’améliorer l’accessibilité, consultez ce billet de blog.
Lorsque vous ouvrez une application Story Map Journal, vous pouvez parcourir les sections à l’aide des touches suivantes : Flèches Haut/Bas, touches Page précédente/Page suivante et Barre d’espacement. Appuyez sur la touche Tabulation pour parcourir les éléments interactifs d’un journal cartographique, comme les boutons et les liens. L’élément sélectionné à chaque appui sur la touche de tabulation est mis en surbrillance. Le raccourci Maj+Tab permet d’inverser le sens de navigation pour passer d’un élément interactif à l’autre. Appuyez sur la touche Entrée pour activer le bouton ou le lien actuellement sélectionné.
Lorsque vous utilisez la touche Tabulation du clavier pour naviguer, plusieurs boutons cachés s’affichent. Ces boutons vous permettent d'accéder facilement aux différentes parties du récit :
Lorsque vous parcourez un journal cartographique à l'aide de la touche Tabulation, un lien est visible dans le panneau de narration, dans chaque section à partir de laquelle vous pouvez placer le focus clavier dans la grande scène du journal. Si la grande scène contient une carte et si vous avez activé l’interaction avec le clavier, vous pouvez utiliser les touches fléchées pour vous déplacer sur la carte, et les touches + et - pour faire un zoom avant et arrière. Pour replacer le focus clavier dans le panneau de narration à partir de la carte, appuyez sur la touche Échap.
Si vous utilisez une technologie d'assistance telle que VoiceOver, vous pouvez parcourir les parties fonctionnelles d’une Story Map à l’aide de points de repère. Les parties suivantes possèdent des rôles de point de repère ARIA :
Pour plus d’informations sur l’accessibilité de l’application Story Map Journal, consultez ce billet de blog.
Si le choix vous être proposé, nous vous recommandons d'utiliser dans votre Map Journal un nombre limité de cartes web, contenant chacune plusieurs couches, plutôt que de nombreuses cartes avec peu de couches. Vous pouvez ensuite configurer chaque section de votre journal pour qu'elle affiche les couches appropriées provenant de ce petit ensemble de cartes, plutôt que d'utiliser une carte web distincte pour chaque section du journal. Lorsque vous ouvrez une carte web, elle contacte le serveur, ce qui signifie que plus votre Map Journal contient de cartes, plus le serveur sera sollicité. Par ailleurs, vous ne souhaiterez peut-être pas créer la totalité de votre contenu dans un nombre limité de cartes. C'est donc à vous de choisir la méthode qui vous convient le mieux.
Les actions de narration sont des liens que vous pouvez ajouter dans le volet latéral de votre Story Map Journal ou dans le texte du volet flottant, sur lequel vos lecteurs peuvent cliquer pour changer ce qui apparaît dans la grande scène. Vous pouvez par exemple définir une action de narration par laquelle en cliquant, vos lecteurs applique un zoom avant sur la carte dans la grande scène, active ou désactive une couche sur cette carte, affiche une fenêtre contextuelle pour un lieu en particulier ou effectuent toutes ces opérations en même temps ! Vous pouvez également définir des actions de narration qui accèdent directement à une autre section de votre journal. Elles optimisent considérablement les fonctionnalités de narration de Map Journal. Pour plus d'informations, consultez ce billet de blog. Il est également possible de créer des actions de narration qui apparaissent sous forme de boutons au lieu de liens : consultez ce billet de blog.
Les actions de narration sont également prises en charge dans Story Map Series.
En règle générale, nous vous recommandons une orientation de type paysage (c'est-à-dire, des images plus larges que hautes) au lieu d'une orientation de type portrait.
Si vous chargez vos images directement dans votre Map Journal, elles sont automatiquement optimisées et gérées afin que leurs performances soient optimales. Vous pouvez ainsi utiliser une image de la taille de votre choix ; elle se chargera rapidement dans votre récit. De même, si vous utilisez des images stockées dans Flickr ou Google+, Map Journal tire parti des optimisations apportées au mode de stockage de vos photos par ces services. Par conséquent, vos images se chargeront également rapidement.
Si vous référencez vos images sur le web directement via des liens URL, vérifiez qu'elles ne sont pas trop volumineuses. La taille des images ne doit pas dépasser 800 Ko, mais vous devez cibler 400 Ko au maximum pour la plupart des images. Les largeurs d'images recommandées sont les suivantes :
Nous recommandons également d'utiliser le format JPG et d'enregistrer vos images selon une qualité de 80 % afin de réduire la taille. Il est possible que de grandes images référencées via des URL, et qui ralentissent les performances, vous semblent se charger rapidement. Ceci s'explique par le fait qu'après les avoir affichées une fois au cours du processus d'autorisation, elles ont été mises en cache dans votre navigateur web. Leur affichage paraîtra en revanche lent aux utilisateurs qui consultent votre narration. Si vous ne parvenez pas à redimensionner vos images pour optimiser les performances, il n'est pas conseillé de les référencer via des URL. Vous devez plutôt les charger dans votre Map Journal.
Si vous référencez des images sur le web directement via des URL, assurez-vous que ces URL commencent par HTTPS et non pas HTTP. Évitez d’ajouter des images (ou tout autre contenu) ne pouvant pas être référencées via HTTPS. Ceci offrira à vos lecteurs une expérience optimale lorsqu’ils affichent votre Story Map car cela aidera à garantir que votre récit est entièrement conforme avec le protocole HTTP et donc empêchera les navigateurs web d’avertir vos lecteurs que votre récit est potentiellement risqué. Reportez-vous à cette question du FAQ pour plus d’informations sur la sécurité web et le contenu des Story Maps.
Oui. Consultez ces billets de blog pour obtenir plus de conseils et d'astuces sur Story Map Journal.
En règle générale, nous vous recommandons une orientation de type paysage (c'est-à-dire, des images plus larges que hautes) au lieu d'une orientation de type portrait.
Si vous chargez vos images directement dans votre Story Map Cascade, elles sont automatiquement optimisées et gérées afin que leurs performances soient optimales. Vous pouvez ainsi utiliser une image de la taille de votre choix ; elle se chargera rapidement dans votre récit. De même, si vous utilisez des images stockées dans Flickr ou Google+, Cascade tire parti des optimisations apportées au mode de stockage de vos photos par ces services. Par conséquent, vos images se chargeront également rapidement.
Si vous référencez vos images sur le web directement via des liens URL, vérifiez qu'elles ne sont pas trop volumineuses. La taille des images ne doit pas dépasser 800 Ko, mais vous devez cibler 400 Ko au maximum pour la plupart des images. Les largeurs d'images recommandées sont les suivantes :
Nous recommandons également d'utiliser le format JPG et d'enregistrer vos images selon une qualité de 80 % afin de réduire la taille. Il est possible que de grandes images référencées via des URL, et qui ralentissent les performances, vous semblent se charger rapidement. Ceci s'explique par le fait qu'après les avoir affichées une fois au cours du processus d'autorisation, elles ont été mises en cache dans votre navigateur web. Leur affichage paraîtra en revanche lent aux utilisateurs qui consultent votre narration. Si vous ne parvenez pas à redimensionner vos images pour optimiser les performances, il n'est pas conseillé de les référencer via des URL. Vous devez plutôt les charger dans votre Cascade.
Si vous référencez des images sur le web directement via des URL, assurez-vous que ces URL commencent par HTTPS et non pas HTTP. Évitez d’ajouter des images (ou tout autre contenu) ne pouvant pas être référencées via HTTPS. Ceci offrira à vos lecteurs une expérience optimale lorsqu’ils affichent votre Story Map car cela aidera à garantir que votre récit est entièrement conforme avec le protocole HTTP et donc empêchera les navigateurs web d’avertir vos lecteurs que votre récit est potentiellement risqué. Reportez-vous à cette question du FAQ pour plus d’informations sur la sécurité web et le contenu des Story Maps.
Oui. Comme les autres applications Story Map, Cascades réagit automatiquement aux tailles d'écran inférieures des appareils mobiles afin d'en faciliter la lecture. Certains supports pouvant être ajoutés dans les récits Cascade ne fonctionnent pas sur les appareils mobiles. C'est le cas des scènes web 3D. Les vidéos fonctionnent sur les appareils mobiles, sauf dans un cas : si vous utilisez une vidéo comme support d'une page de couverture, cette vidéo ne fonctionne pas sur les appareils mobiles. Dans ce cas, le générateur Cascade vous permet de spécifier une image comme support secondaire, qui s'affiche automatiquement lorsque votre récit Cascade est consulté sur un appareil mobile. Si vous ne spécifiez pas de support secondaire pour les supports qui ne fonctionnent pas sur les appareils mobiles, le rapport d'intégrité du générateur Cascade vous avertit en affichant une bande orange en regard du support en question. Vous pouvez également tirer parti de la possibilité d'intégrer un support secondaire pour optimiser davantage votre récit Cascade sur mobile, en remplaçant les supports qui risquent de ne pas fonctionner correctement sur les appareils mobiles. Par exemple, les cartes web dans les récits Cascade sont pris en charge sur les appareils mobiles, mais les cartes qui comportent un grand nombre de couches ou qui nécessitent une interaction importante dans votre Story May risquent de ne pas fonctionner correctement pour vos lecteurs qui utilisent des appareils mobiles. Dans ce cas, vous avez la possibilité de spécifier des images comme support secondaire.
La fonctionnalité de support secondaire a été ajoutée au générateur Cascade dans la version d'ArcGIS Online à la fin du mois de juin 2017. Nous vous recommandons de mettre à jour vos récits Cascade existants en vue de spécifier un support secondaire pour tout contenu ne fonctionnant pas, ou pas correctement, sur les appareils mobiles, afin de garantir les meilleures performances pour vos lecteurs. Pour plus d'informations, consultez ce billet de blog.
Oui. Consultez notre billet de blog Conseils pour Cascade. Lisez ensuite ces autres billets de blog pour obtenir d'autres conseils et astuces sur Story Map Cascade.
Ne passez pas non plus à côté des guides interactifs de création de récits Cascade, créés à l'aide de Cascade par John Nelson, membre de l'équipe Esri Story Maps.
Le nombre maximal d'entrées autorisées dans une application Story Maps Series est limité à 30. Vous pouvez augmenter cette limite en téléchargeant l'application Story Map Series et en personnalisant le code source. Consultez cette question GeoNet pour plus détails.
En règle générale, nous vous recommandons une orientation de type paysage (c'est-à-dire, des images plus larges que hautes) au lieu d'une orientation de type portrait.
Si vous chargez vos images directement dans votre série de cartes, elles sont automatiquement optimisées et gérées afin que leurs performances soient optimales. Vous pouvez ainsi utiliser une image de la taille de votre choix ; elle se chargera rapidement dans votre récit. De même, si vous utilisez des images stockées dans Flickr ou Google+, Map Series tire parti des optimisations apportées au mode de stockage de vos photos par ces services. Par conséquent, vos images se chargeront également rapidement.
Si vous référencez vos images sur le web directement via des liens URL, vérifiez qu'elles ne sont pas trop volumineuses. La taille des images ne doit pas dépasser 800 Ko, mais vous devez cibler 400 Ko au maximum pour la plupart des images. Les largeurs d'images recommandées sont les suivantes :
Nous recommandons également d'utiliser le format JPG et d'enregistrer vos images selon une qualité de 80 % afin de réduire la taille. Il est possible que de grandes images référencées via des URL, et qui ralentissent les performances, vous semblent se charger rapidement. Ceci s'explique par le fait qu'après les avoir affichées une fois au cours du processus d'autorisation, elles ont été mises en cache dans votre navigateur web. Leur affichage paraîtra en revanche lent aux utilisateurs qui consultent votre narration. Si vous ne parvenez pas à redimensionner vos images pour optimiser les performances, il n'est pas conseillé de les référencer via des URL. Vous devez plutôt les charger dans votre Map Series.
Si vous référencez des images sur le web directement via des URL, assurez-vous que ces URL commencent par HTTPS et non pas HTTP. Évitez d’ajouter des images (ou tout autre contenu) ne pouvant pas être référencées via HTTPS. Ceci offrira à vos lecteurs une expérience optimale lorsqu’ils affichent votre Story Map car cela aidera à garantir que votre récit est entièrement conforme avec le protocole HTTP et donc empêchera les navigateurs web d’avertir vos lecteurs que votre récit est potentiellement risqué. Reportez-vous à cette question du FAQ pour plus d’informations sur la sécurité web et le contenu des Story Maps.
Oui. Consultez ces billets de blog pour obtenir plus de conseils et d'astuces sur Story Map Series.
L’application Story Map Shortlist est sortie de la phase bêta dans la mise à jour de juin 2018 de ArcGIS Online. Il s’agit désormais d’un modèle d’application de narration entièrement pris en charge.
Il n’est actuellement pas prévu d’intégrer Shortlist à ArcGIS Enterprise. Pour déployer Shortlist sur votre portail ArcGIS Enterprise, vous pouvez télécharger le code depuis Github, l’héberger sur votre portail ArcGIS Enterprise et l’ajouter à la bibliothèque d’applications configurables de ce dernier.
Vous ne pouvez pas créer de présélections Story Map Shortlist dans Microsoft Edge, mais vous pouvez les afficher dans ce navigateur. L’utilisation d’Internet Explorer pour afficher ou créer des présélections Story Map Shortlist sous Windows 10 n’est pas recommandée, à cause d'un problème technique provoquant parfois une erreur lors de l'actualisation de l'écran. Ce problème n’existe pas dans Internet Explorer sous Windows 7.
Lorsque vous créez une application Shortlist dans le générateur, vous pouvez définir des lieux sans leur attribuer d'image ou préciser leur emplacement. Ceci vous permet d'entrer votre ensemble de lieux d'abord, puis de les localiser et de leur attribuer des images ultérieurement. Tous les lieux qui n’ont pas encore de nom, d’image ou qui n’ont pas encore été localisés sur la carte sont automatiquement omis de l’application Shortlist que vos utilisateurs voient. Si un lieu est absent de votre application Shortlist, vérifiez qu'il est localisé sur la carte dans le générateur, qu'un nom lui a été attribué et qu'il comporte à la fois une image miniature et une image principale.
En outre, les onglets Shortlist présentent par défaut à vos utilisateurs uniquement les lieux de la zone cartographique qu’ils consultent actuellement. Dans le générateur Shortlist toutefois, les onglets vous indiquent tous les lieux de votre application Shortlist, quelle que soit la zone cartographique actuelle, en vue de faciliter le processus de création. Si un lieu est absent de votre application Shortlist, il se peut qu’il soit situé en dehors de l’emplacement cartographique par défaut que les utilisateurs voient à l’ouverture de votre application Shortlist. (Notez que vous avez également la possibilité, via la boîte de dialogue Settings (Paramètres), de faire en sorte que les onglets Shortlist présentent tous les lieux aux utilisateurs, et pas seulement les lieux de la zone cartographique actuelle).
Oui. Dans ArcGIS Online, ouvrez la carte web utilisée dans votre application Shortlist, partagez-la en tant qu'application web, puis sélectionnez Story Map Shortlist dans la bibliothèque d'applications. Vous serez invité à choisir la ou les couches dans votre carte web qui contiennent vos lieux Shortlist. Ces lieux peuvent être importés dans le générateur Shortlist où vous pouvez configurer votre nouvelle Shortlist et appliquer d'autres mises à jour interactives à vos lieux. Vous pouvez par exemple, dans le générateur, attribuer des images plus volumineuses à vos lieux pour tirer pleinement parti de la nouvelle apparence de l'application Shortlist. Lorsque vous créez une Shortlist en important des lieux à partir de votre carte web, votre application Shortlist d'origine n'est pas affectée, car le générateur Shortlist copie automatiquement vos lieux importés dans une nouvelle carte web. Vous disposez également d'une option permettant à votre nouvelle Shortlist de référencer les lieux dans la carte web d'origine plutôt que de les importer. Grâce à cette option, votre nouvelle Shortlist reflète les changements continus apportés aux données de votre carte web. Ceci est utile si vous souhaitez modifier et gérer vos lieux dans votre carte à l'aide des outils de cartographie et de mise à jour d'ArcGIS, au lieu d'utiliser le générateur Shortlist. Cependant, tous vos lieux doivent se trouver dans une seule couche d'entités de votre carte web, et pas dans une couche par onglet, et deux champs de cette couche doivent référencer les images via des URL pour chaque lieu : un pour l'image miniature et l'autre pour l'image principale.
Oui, vous pouvez créer une Shortlist à l'aide des données d'entité ponctuelle existantes d'une carte web ArcGIS Online. Pour créer votre application Shortlist à l'aide de données ponctuelles d'une carte web existante, accédez d'abord à ArcGIS Online et ouvrez cette carte web. Partagez-la ensuite en tant qu'application web et choisissez Story Map Shortlist dans la bibliothèque d'applications. Le générateur Shortlist s'ouvre et vous invite à sélectionner les données ponctuelles à utiliser.
Deux options s'offrent à vous. La plus simple consiste à importer vos points en tant que lieux dans le générateur Shortlist. Dans le générateur, vous pouvez ensuite ajouter des images et une description aux lieux, les organiser dans des onglets, supprimer et ajouter des lieux, etc. Lorsque vous utilisez l'option d'importation, le générateur Shortlist copie automatiquement vos lieux importés dans une nouvelle carte web. Vos données ponctuelles et votre carte web d'origine ne sont pas affectées par les modifications que vous apportez par la suite aux lieux dans le générateur. Cette option fonctionne avec les données ponctuelles des couches d'entités, sans qu’il soit nécessaire que ces données utilisent un ensemble de champs ou une structure de données particuliers. Vous pouvez choisir les attributs de données que vous souhaitez afficher dans la description de vos lieux.
Vous disposez également d'une option permettant à votre Shortlist de référencer les lieux dans votre carte web d'origine plutôt que de les importer dans le générateur. Il s’agit de l’option " en l’état.". Avec cette option, votre Shortlist reflétera les modifications en cours appliquées aux données de votre carte web. Ceci est utile si vous souhaitez modifier et gérer les lieux de votre carte à l'aide des outils de cartographie et de mise à jour d'ArcGIS, au lieu d'utiliser le générateur Shortlist. Le générateur Shortlist affiche les lieux mais ne vous permet pas de les modifier ou de les organiser, ni d'ajouter ou de changer des images. Cette option requiert que vos données ponctuelles utilisent l'ensemble de champs (schéma) spécifique attendu par la Shortlist. Vous pouvez télécharger ce schéma à partir de la boîte de dialogue qui s’affiche lorsque vous créez une Shortlist depuis une carte web contenant des données ponctuelles, ou bien ici. Ce schéma exige que tous vos emplacements se trouvent dans une seule couche d’entités de la carte. De plus, les URL des images doivent être référencées dans deux champs pour chaque emplacement : un pour l’image de la miniature, et un pour l’image principale. Si vous utilisez cette option " en l’état.", veillez à lire la réponse ci-dessous concernant la taille recommandée pour les images référencées par URL.
Oui. La nouvelle version hébergée de l'application Story Map Shortlist n'affecte pas les applications Shortlist existantes déployées à l'aide de la version non hébergée d'origine de l'application. Si vous avez déployé une application Shortlist à l'aide de la version d'origine de l'application, le code de votre Shortlist est hébergé sur votre propre site web ou serveur web et n'est par conséquent pas affecté par la nouvelle version. Le code source de la version d'origine de l'application Shortlist (version 1.x) peut toujours être téléchargé depuis le référentiel GitHub Story Map Shortlist.
Vous pouvez utiliser des images de toutes tailles et formes dans une application Story Map Shortlist, mais nous vous recommandons une orientation de type paysage (c'est-à-dire, des images plus larges que hautes), au lieu de l'orientation de type portrait. Pour optimiser l’apparence des Shortlists, toutes les images doivent présenter la même taille et les mêmes proportions pour que les utilisateurs ne soient pas distraits lors de la navigation par des images aux formes différentes. Le rapport hauteur/largeur recommandé est 4:3.
Si vous chargez vos images directement dans votre Shortlist, elles sont automatiquement optimisées et gérées afin que leurs performances soient optimales. Vous pouvez ainsi utiliser une image de la taille de votre choix ; elle se chargera rapidement dans votre récit. De même, si vous utilisez des images stockées dans Flickr ou Google+, Shortlist tire parti des optimisations apportées au mode de stockage de vos photos par ces services. Vous pouvez par conséquent utiliser une image de la taille de votre choix ; elle se chargera rapidement dans votre récit.
Si vous référencez des images sur le web directement via des URL, la taille de fichier de chaque image doit idéalement être inférieure à 400 Ko. Les images dont la taille est plus importante risquent de ralentir les performances. Nous recommandons également d'utiliser le format JPG et d'enregistrer vos images à une qualité de 80 % afin de réduire la taille. Les images de Shortlists référencées par des URL n'ont pas besoin d’avoir une taille supérieure à 1 000 pixels de largeur par 750 pixels de hauteur. Le fait de redimensionner les images plus volumineuses à cette taille permet de réduire la taille des fichiers, mais vous n’avez pas besoin de les redimensionner si leur taille est déjà inférieure à 400 Ko. Si vous référencez des images par URL, évitez d'utiliser la même image comme image principale et comme miniature. Cela peut véritablement ralentir les performances de chargement des onglets. Dans l’idéal, pointez vers des images plus petites pour les miniatures. Pour les images miniatures référencées par des URL, nous recommandons d'utiliser une taille et une forme de 280 pixels de largeur sur 210 pixels de hauteur. Comme cette forme de miniature (rapport hauteur/largeur de 4:3) correspond exactement à la zone de miniature Shortlist, elle ne sera pas rognée.
Il est possible que de plus grandes images référencées via des URL, et qui ralentissent les performances, vous semblent se charger rapidement. Ceci s'explique par le fait qu'après les avoir affichées une fois au cours du processus d'autorisation, elles ont été mises en cache dans votre navigateur web. Leur affichage paraîtra en revanche long aux utilisateurs qui consultent votre Shortlist. Si vous ne parvenez pas à réduire la taille de fichier de vos images pour optimiser les performances, il n'est pas conseillé de les référencer via des URL. Vous devez plutôt les charger dans votre Shortlist. Notez que si vous utilisez l’option de création d’une Shortlist à partir d'une couche de points dans une carte web et que vous utilisez ces points " en l’état." pour définir vos endroits (plutôt que de les importer dans la Shortlist, pour pouvoir leur attribuer des images dans le Générateur), vous devez référencer vos images via les URL stockées sous la forme d’attributs dans cette couche.
Si vous référencez des images sur le web directement via des URL, assurez-vous que ces URL commencent par HTTPS et non pas HTTP. Évitez d’ajouter des images (ou tout autre contenu) ne pouvant pas être référencées via HTTPS. Ceci offrira à vos lecteurs une expérience optimale lorsqu’ils affichent votre Story Map car cela aidera à garantir que votre récit est entièrement conforme avec le protocole HTTP et donc empêchera les navigateurs web d’avertir vos lecteurs que votre récit est potentiellement risqué. Reportez-vous à cette question du FAQ pour plus d’informations sur la sécurité web et le contenu des Story Maps.
Chaque Shortlist est associée à une carte web qui contient les emplacements affichés dans cette Shortlist. Par exemple, si vous créez une Shortlist à partir de zéro, une carte web contenant les emplacements que vous définissez est créée automatiquement. Vous pouvez aussi créer une Shortlist à partir d’une carte web existante en partageant cette carte dans ArcGIS Online. Si vous créez une Shortlist à partir d’une carte web contenant des données ponctuelles et que vous choisissez d’importer ces données dans la Shortlist sous forme d’emplacements modifiables dans le générateur Shortlist, la Shortlist crée automatiquement une copie de votre carte web pour y enregistrer vos emplacements. Vous pouvez mettre à jour la carte web associée à une Shortlist afin d’ajouter des couches complémentaires qui permettront aux utilisateurs d’obtenir plus d’informations. Par exemple, si votre Shortlist présente des chemins de randonnée, vous pouvez les ajouter à la carte web sous forme d’entités linéaires. Vous pouvez aussi ajouter une couche représentant une limite de zone d’étude, etc. La symbologie et les fenêtres contextuelles que vous définissez pour les couches complémentaires s’affichent dans la Shortlist. Pour permettre aux utilisateurs d’obtenir des informations supplémentaires en cliquant sur les couches d’entités que vous ajoutez, veillez à ce que ces dernières soient associées à des fenêtres contextuelles. Désactivez les fenêtres contextuelles des couches que vous ajoutez si vous ne voulez pas permettre aux utilisateurs de cliquer dessus. Pour modifier la carte web utilisée dans votre Shortlist, commencez par fermer le générateur Shortlist, s’il est ouvert. Ce point est important car si vous essayez de modifier la carte web d’une Shortlist ouverte dans le générateur, vous risquez de perdre des données. Accédez ensuite à la section Mes récits du site web Story Maps, trouvez votre Shortlist et cliquez sur l’onglet Cartes, puis sur le bouton Modifier la carte.
Remarque importante : lorsque vous modifiez la carte web utilisée par une Shortlist, vous ne devez pas modifier la couche de points dans laquelle la Shortlist enregistre les emplacements. Cette couche est généralement appelée " couche Shortlist.". N’essayez pas de modifier cette couche pour ajouter, supprimer ou modifier des emplacements de votre Shortlist. Cette couche est enregistrée dans un format propre à la Shortlist, et vous risqueriez de perdre des données. La seule exception à cela est si vous utilisez l’option " as-is." (tel quel) pour créer votre Shortlist. Avec l’option " en l’état.", vous définissez tous les emplacements de votre Shortlist dans une couche de points incluse dans une carte web, et la Shortlist affiche simplement ces emplacements " en l’état.". Cela vous permet de gérer les emplacements dans la carte web au lieu de les éditer de façon interactive dans le générateur Shortlist. Avec cette option, la seule façon de mettre à jour votre Shortlist est de modifier les emplacements dans la carte web. Utilisez l’option " en l’état." si vous souhaitez gérer vos emplacements en modifiant une couche incluse dans une carte web. Reportez-vous à cette question du FAQ pour plus de détails sur l’option " en l’état.".
Oui. Consultez ces billets de blog pour obtenir plus de conseils et d'astuces sur Story Map Shortlist.
Oui, vous pouvez intégrer une narration Swipe dans Story Map Journal, Story Map Series ou Story Map Cascade. (Notez que Cascade ne possède pas d’option de transition pour les vues dans une section immersive pouvant offrir un effet similaire à Swipe, ce qui peut être une meilleure alternative qu’intégrer une application Swipe). Vous pouvez ajouter le paramètre &embed à la fin de l’URL vers l’application Swipe que vous intégrez afin de cacher l’en-tête de l’application Swipe. Ceci apporte plus d’espace à votre application intégrée et élimine la duplication des éléments d’en-tête tels que le titre et le logo. Par exemple, si vous intégrez une application Swipe dans une application Story Map Journal, vous pouvez utiliser le texte narratif du panneau latéral de Map Journal pour décrire ce que l’application Swipe affiche au lieu d’afficher l’en-tête de l’application Swipe.
Consultez ce billet de blog et de billet de blog pour obtenir plus d'informations et des conseils sur l'incorporation de contenu web dans votre Story Map.
Story Map Basic est utile si votre carte parle d’elle-même et n’a pas besoin de narration supplémentaire. Le titre et le sous-titre dans l’en-tête étant le seul texte descriptif que vos lecteurs verront, prenez le temps de les rédiger avec soin. Vous pourriez également intégrer une application Story Map Basic dans une page Web si cette page contient la narration ou le support d'accompagnement que vous souhaitez présenter avec la carte. Lorsque vous créez une application Story Map Basic, l’intérêt porte largement sur la carte, donc assurez-vous que vos fenêtres contextuelles sont configurées dans la carte web et que la symbologie et la légende ont une bonne apparence.